Ce ministre refuse de voir que tous les extrémismes sont dangereux que cela celui du FN ou celui des catholiques intégristes ou des juifs intégristes talmudistes ou celui des évangélistes ou celui des moines bouddhistes qui assassinent des enfants musulmans en Birmanie est qui sont récompensés par la France qui leur donne des visas pour se pavaner dans les marchés et grandes surfaces pour provoquer les musulmans !
Ce ministre fait preuve d'hypocrisie en soutenant le sionisme qui prône l'extermination ou la mise en esclavage des musulmans pour le grand Israël et le parti extrémiste le Likoud qui rend licite le vol et le meurtre des palestiniens musulmans ou chrétiens !N'est ce pas de l'extrémiste et du radicalisme religieux de prôner le grand Israël et un nettoyage ethnique des pays arabes pour les donner à des juifs polonais ou suisses?
Il fait comme si le terrorisme juif n'existait pas alors que son neveu en as été victime !
Ce que veut ce gouvernement c'est instaurer une police de la pensée unique comme avec la Stasi en RDA!
Selon Médiapart :
Rien n’a bougé depuis la fermeture des bâtiments du siège de la Stasi. Rien, si ce n’est ses ministres et ses agents. Le film La vie des autres, oscarisé en 2007, a fait revivre, le temps d’un tournage, ces locaux si imprégnés de cette période de l’histoire allemande.
La Stasi a surveillé, épié dans les moindres détails, la vie de millions de personnes entre 1950 et 1989. Les méthodes employées étaient souvent sophistiquées, parfois rudimentaires. Le musée, installé dans l’ancien siège du ministère de la Sécurité d’Etat de l’ex-RDA, à Berlin, en est le principal témoin.
Rien n’échappait à la vigilance de l’Etat. La surveillance était sans concession, de jour comme de nuit. Les agents de la Stasi s’introduisaient en général chez les gens en leur absence pour noter, photographier, prélever ou emporter quantité d’éléments susceptibles d’alimenter les millions de dossiers "nécessaires"à la sécurité et à la bonne marche de l’Etat. Lectures, courriers, conversations téléphoniques, échantillons d’écriture étaient conservés dans les 6 millions de dossiers retrouvés, qui correspondent à quelque 180 km de papier, accessibles aux citoyens concernés et aux chercheurs.
Même les odeurs corporelles, recueillies sur des échantillons provenant d’habits ou de tissus posés sur des chaises d’interrogatoires, - comme l’illustre une scène du film La vie des autres, tournée dans un bureau intact du musée - étaient soigneusement consignés dans des bocaux. Ils étaient utilisés pour aider les chiens à rechercher certains individus ou à confirmer leur participation à certaines actions. Infaillible. Quand les informations n’étaient pas recueillies à l’intérieur des habitations, elles l’étaient à l’extérieur. C’est ainsi que des citoyens, plus ou moins ordinaires, étaient à la merci d’improbables gadgets (appareils photos, micros et armes en tout genre), dissimulés dans des sacs, valises, vestes, troncs d’arbre, pierres, jerricanes, arrosoirs ou autres planques insoupçonnables.
Des terroristes talmudistes israéliens poignardent le neveu du premier ministre français, les médias étouffent l'affaire !
Trois touristes français, dont le neveu du Premier ministre français Edouard Philippe, en vacances dans la station balnéaire d’Eilat en Israël, ont été agressés mercredi dernier à l’arme blanche par un groupe de (Bédouins) Israéliens, a révélé lundi le quotidien israélien Yédiot Aharonoth.
Le consul de France à Tel-Aviv a été dépêché sur place de toute urgence, précise le quotidien israélien.
La police municipale a découvert trois jeunes touristes étendus sur le sol de la promenade d’Eilat et présentant des blessures à l’arme blanche sur la partie inférieure de leurs corps. Deux d’entre eux ont été légèrement touchés, et le troisième plus gravement.
MENAHEM KAHANA (AFP/File)View of the Israeli Red Sea resort of Eilat in 2011
MENAHEM KAHANA (AFP/File)
Ils ont été immédiatement transportés à l’hôpital Yosseftal de la ville.
Les trois touristes ont rejoint la France vendredi dernier grâce à l’aide du Consul de France à Tel-Aviv qui les a assisté dans leurs démarches.
L’ambassade de France n’a pas souhaité répondre aux questions du journaliste du Yediot.
Contacté par i24NEWS, le ministre israélien des Affaires étrangères n’a pas non plus souhaité communiqué sur cet incident.
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