Une attaque qui a l'effet inverse : consolider au lieu d'affaiblir le gouvernement syrien de Bashar al Assad
Comme nous l'avions écrit il y a quelques jours Netanyahou n'a pas attendu de former son nouveau gouvernement pour attaquer de front la Syrie avec le feu vert des US/OTAN Qatar et Arabie Saoudite.
Selon l'armée syrienne l'aviation israélienne a "directement bombardé" un centre de recherche militaire situé entre Damas et la frontière libanaise dans la nuit de mardi à mercredi.
"Un avion de combat israélien a violé notre espace aérien à l'aube et a directement bombardé un centre de recherche sur l'amélioration de la résistance et l'auto-défense dans la région de Jomrayah dans la province de Damas", a annoncé l'agence syrienne SANA reprenant un communiqué de l'armée syrienne. Deux employés ont été tués et cinq autres blessés dans ce centre, qui a subi "d'importants dégâts" et dont le "bâtiment a été partiellement détruit". Selon le communiqué : " des groupes terroristes ont essayé en vain à plusieurs reprises ces derniers mois d'entrer et de s'emparer de ce site" allusion au groupe Al Nusra affilié à Al Qaeda.
Le communiqué ajoute que pour l'armée syrienne il est clair que cette attaque prouve "désormais à tous qu'Israël est le moteur, le bénéficiaire et parfois l'acteur des actes terroristes visant la Syrie et son peuple résistant, en coordination avec les pays soutenant le terrorisme, dirigés par la Turquie et le Qatar".
Par conséquent pour le gouvernement syrien et le peuple syrien lutter contre ces pseudo révolutionnaires organisés en bandes terroristes inclus l'ASL c'est combattre le régime juif sioniste.
Conséquence : le loup sioniste en sortant du bois en Syrie vient tout simplement de commettre la pire faute stratégique. Cette attaque va réunifier le peuple syrien derrière le gouvernement de Bashar Al Assad pour combattre le régime juif sioniste accusant tous ceux qui continuent d'assassiner piller détruire les infrastructures syriennes d'être à la solde de ces Juifs sionistes l'ennemi public N° 1 des Syriens et des autres peuples arabes de la région.
C'est ce genre de situation qui a permis au Liban dans les années 80 90 à la Résistance du Hezbollah et ses alliés de bénéficier d'un large soutien populaire contre les Phalanges collaborasionistes aboutissant au départ de l'armée israélienne vaincue en 2000.
Désormais le combat du gouvernement syrien de Bashar Al Assad est un combat pour la survie de la Syrie contre l'entité juive sioniste occupant la Palestine et le Golan syrien et ses supplétifs ASL Al Nusra Al Qaeda et consorts.
Bashar Al Assad peut ainsi compter sur le sentiment nationaliste profondément encré dans le coeur du peuple syrien et ravivé par l'arrogance aveugle de Netanyahou pour mener son combat et celui de l'armée nationale syrienne contre ces supplétifs de l'ennemi N°1 de la Syrie : le régime juif sioniste.
Bombardement israélien de la Syrie : Bashar al Assad 1 Netanyahou III 0
Une attaque aérienne israélienne qui vise à TUER l'Accord De Genève Moscou voit Rouge
Réagissant à cette attaque israélienne contre un site militaire syrien la Russie s’est dite "très préoccupée par les informations concernant des frappes de l'armée de l'air israélienne sur des sites en Syrie".
"Si cette information est confirmée, cela signifie que nous avons à faire à des frappes sans aucun prétexte sur le territoire d'un Etat souverain, ce qui viole grossièrement la charte de l'ONU et est inacceptable, quel qu'en soit le motif", a indiqué le ministère des Affaires étrangères russe ajoutant :
"Nous prenons des mesures d'urgence pour éclaircir cette situation dans les moindres détails".
Autrement dit Moscou voit rouge et va faire le nécessaire auprès de Tel Aviv mais aussi en Syrie pour prévenir toute nouvelle attaque aérienne israélienne.
Moscou n'est pas dupe et sait que cette attaque a reçu le feu vert des US/OTAN que l'objectif est en fait de TUER l'Accord de Genève que la Russie défend depuis des mois comme seule solution diplomatique à la crise en Syrie et acceptée par le président syrien Bashar al Assad.
Le ministère des affaires étrangères russe a d'ailleurs ajouté :
"Nous appelons une nouvelle fois à la fin des violences en Syrie, sans intervention extérieure - ce qui serait inadmissible - et au début d'un dialogue inter syrien basé sur les accords de Genève du 30 juin 2012".
Le langage utilisé dans ce communiqué reste diplomatique mais est une véritable mise en garde rarement utilisée par la Russie à l'encontre de l'entité coloniale juive sioniste.
Par deux fois Moscou a manifesté sa colère en utilisant des mots trés forts :
"inacceptable" pour qualifier l'attaque israélienne "inadmissible" pour qualifier cette "intervention extérieure" militaire d'Israël. C'est aussi un message fort envoyé aux US/OTAN.
Moscou ne tolérera pas une intervention militaire extérieure en Syrie c'est sa ligne rouge à ne pas franchir.
Cette attaque militaire israélienne a eu lieu alors que s'est tenue à Genève une conférence intitulée "Pour une Syrie Démocratique et un Etat Civil" qui a rassemblé dans la capitale helvète plusieurs partis de l'opposition dont le Comité de coordination nationale syrienne pour le changement (CCNG), avec la participation de 200 personnalités syriennes, arabes et étrangères, venus de 36 pays. La France a fait pression sans succès sur la Suisse pour que cette conférence n'ait pas lieu.
Selon le journaliste libanais Nidal Hémadé qui a participé à la conférence de Genève, et dont les propos ont repris par le site Al Manar dans un article paru le 29/01/2013intitulé :" Crise syrienne : la rencontre de Genève se prépare pour dialoguer avec le régime" sous-commissions doivent voir le jour à la fin de cette rencontre : une qui aura pour mission de dialoguer avec le régime, une autre d’unifier l’opposition et une troisième de se procurer le soutien international.
Parallèlement à Paris se tenait la conférence des "Amis de la Syrie " qu'on peut désormais renommer après l'attaque militaire israélienne "les Amis d'Israël" présidée par le Juif sioniste occupant le Quai D'Orsay, Laurent Fabius, qui s'est focalisée faute de mieux -car les différentes composantes de cette opposition n'arrive toujours pas à se mettre d'accord entre elles pour la formation d'un gouvernement provisoire - sur l'aide humanitaire à apporter aux Syriens déplacés à l'extérieur et à l'intérieur.
A l'évidence la provocation militaire de Tel Aviv - avec le feu vert des US/OTAN- visait à embraser le Moyen Orient.
Quelque soit les critiques qu'on peut à juste titre faire concernant la politique intérieure du président Bashar al Assad il faut être honnête et constater que depuis le début de cette guerre il y a deux ans contre la Syrie qui s'avère être une guerre pour protéger et renforcer l'entité coloniale juive sioniste en utilisant des traitres syriens et mercenaires djihadistes islamistes comme supplétifs, Assad s'est comporté en chef d'état responsable doté de beaucoup de sang froid agissant pour défendre son pays et son peuple.
C'est à l'évidence ce nationalisme à coloration pan arabe qui inspire Assad qui déplaît aux puissances coloniales occidentales et à leur satellite "Israël" occupant la Palestine raison pour laquelle il s'acharne à le diaboliser et à le renverser car pour ces colonialistes revanchards cramponnés à une idéologie désuète du XXème siècle dont l'entité coloniale juive sioniste est le dernier avatar un pays "ami" est un pays soumis.
La France de Hollande ne sort pas grandie de cette politique de guerre au Moyen Orient - et aussi en Afrique - initiée sous Sarkozy mais reprise avec ardeur par la clique de la dictature rose.
Comme nous l'avions écrit il y a quelques jours Netanyahou n'a pas attendu de former son nouveau gouvernement pour attaquer de front la Syrie avec le feu vert des US/OTAN Qatar et Arabie Saoudite.
Selon l'armée syrienne l'aviation israélienne a "directement bombardé" un centre de recherche militaire situé entre Damas et la frontière libanaise dans la nuit de mardi à mercredi.
"Un avion de combat israélien a violé notre espace aérien à l'aube et a directement bombardé un centre de recherche sur l'amélioration de la résistance et l'auto-défense dans la région de Jomrayah dans la province de Damas", a annoncé l'agence syrienne SANA reprenant un communiqué de l'armée syrienne. Deux employés ont été tués et cinq autres blessés dans ce centre, qui a subi "d'importants dégâts" et dont le "bâtiment a été partiellement détruit". Selon le communiqué : " des groupes terroristes ont essayé en vain à plusieurs reprises ces derniers mois d'entrer et de s'emparer de ce site" allusion au groupe Al Nusra affilié à Al Qaeda.
Le communiqué ajoute que pour l'armée syrienne il est clair que cette attaque prouve "désormais à tous qu'Israël est le moteur, le bénéficiaire et parfois l'acteur des actes terroristes visant la Syrie et son peuple résistant, en coordination avec les pays soutenant le terrorisme, dirigés par la Turquie et le Qatar".
Par conséquent pour le gouvernement syrien et le peuple syrien lutter contre ces pseudo révolutionnaires organisés en bandes terroristes inclus l'ASL c'est combattre le régime juif sioniste.
Conséquence : le loup sioniste en sortant du bois en Syrie vient tout simplement de commettre la pire faute stratégique. Cette attaque va réunifier le peuple syrien derrière le gouvernement de Bashar Al Assad pour combattre le régime juif sioniste accusant tous ceux qui continuent d'assassiner piller détruire les infrastructures syriennes d'être à la solde de ces Juifs sionistes l'ennemi public N° 1 des Syriens et des autres peuples arabes de la région.
C'est ce genre de situation qui a permis au Liban dans les années 80 90 à la Résistance du Hezbollah et ses alliés de bénéficier d'un large soutien populaire contre les Phalanges collaborasionistes aboutissant au départ de l'armée israélienne vaincue en 2000.
Désormais le combat du gouvernement syrien de Bashar Al Assad est un combat pour la survie de la Syrie contre l'entité juive sioniste occupant la Palestine et le Golan syrien et ses supplétifs ASL Al Nusra Al Qaeda et consorts.
Bashar Al Assad peut ainsi compter sur le sentiment nationaliste profondément encré dans le coeur du peuple syrien et ravivé par l'arrogance aveugle de Netanyahou pour mener son combat et celui de l'armée nationale syrienne contre ces supplétifs de l'ennemi N°1 de la Syrie : le régime juif sioniste.
Bombardement israélien de la Syrie : Bashar al Assad 1 Netanyahou III 0
Une attaque aérienne israélienne qui vise à TUER l'Accord De Genève Moscou voit Rouge
Réagissant à cette attaque israélienne contre un site militaire syrien la Russie s’est dite "très préoccupée par les informations concernant des frappes de l'armée de l'air israélienne sur des sites en Syrie".
"Si cette information est confirmée, cela signifie que nous avons à faire à des frappes sans aucun prétexte sur le territoire d'un Etat souverain, ce qui viole grossièrement la charte de l'ONU et est inacceptable, quel qu'en soit le motif", a indiqué le ministère des Affaires étrangères russe ajoutant :
"Nous prenons des mesures d'urgence pour éclaircir cette situation dans les moindres détails".
Autrement dit Moscou voit rouge et va faire le nécessaire auprès de Tel Aviv mais aussi en Syrie pour prévenir toute nouvelle attaque aérienne israélienne.
Moscou n'est pas dupe et sait que cette attaque a reçu le feu vert des US/OTAN que l'objectif est en fait de TUER l'Accord de Genève que la Russie défend depuis des mois comme seule solution diplomatique à la crise en Syrie et acceptée par le président syrien Bashar al Assad.
Le ministère des affaires étrangères russe a d'ailleurs ajouté :
"Nous appelons une nouvelle fois à la fin des violences en Syrie, sans intervention extérieure - ce qui serait inadmissible - et au début d'un dialogue inter syrien basé sur les accords de Genève du 30 juin 2012".
Le langage utilisé dans ce communiqué reste diplomatique mais est une véritable mise en garde rarement utilisée par la Russie à l'encontre de l'entité coloniale juive sioniste.
Par deux fois Moscou a manifesté sa colère en utilisant des mots trés forts :
"inacceptable" pour qualifier l'attaque israélienne "inadmissible" pour qualifier cette "intervention extérieure" militaire d'Israël. C'est aussi un message fort envoyé aux US/OTAN.
Moscou ne tolérera pas une intervention militaire extérieure en Syrie c'est sa ligne rouge à ne pas franchir.
Cette attaque militaire israélienne a eu lieu alors que s'est tenue à Genève une conférence intitulée "Pour une Syrie Démocratique et un Etat Civil" qui a rassemblé dans la capitale helvète plusieurs partis de l'opposition dont le Comité de coordination nationale syrienne pour le changement (CCNG), avec la participation de 200 personnalités syriennes, arabes et étrangères, venus de 36 pays. La France a fait pression sans succès sur la Suisse pour que cette conférence n'ait pas lieu.
Selon le journaliste libanais Nidal Hémadé qui a participé à la conférence de Genève, et dont les propos ont repris par le site Al Manar dans un article paru le 29/01/2013intitulé :" Crise syrienne : la rencontre de Genève se prépare pour dialoguer avec le régime" sous-commissions doivent voir le jour à la fin de cette rencontre : une qui aura pour mission de dialoguer avec le régime, une autre d’unifier l’opposition et une troisième de se procurer le soutien international.
Parallèlement à Paris se tenait la conférence des "Amis de la Syrie " qu'on peut désormais renommer après l'attaque militaire israélienne "les Amis d'Israël" présidée par le Juif sioniste occupant le Quai D'Orsay, Laurent Fabius, qui s'est focalisée faute de mieux -car les différentes composantes de cette opposition n'arrive toujours pas à se mettre d'accord entre elles pour la formation d'un gouvernement provisoire - sur l'aide humanitaire à apporter aux Syriens déplacés à l'extérieur et à l'intérieur.
A l'évidence la provocation militaire de Tel Aviv - avec le feu vert des US/OTAN- visait à embraser le Moyen Orient.
Quelque soit les critiques qu'on peut à juste titre faire concernant la politique intérieure du président Bashar al Assad il faut être honnête et constater que depuis le début de cette guerre il y a deux ans contre la Syrie qui s'avère être une guerre pour protéger et renforcer l'entité coloniale juive sioniste en utilisant des traitres syriens et mercenaires djihadistes islamistes comme supplétifs, Assad s'est comporté en chef d'état responsable doté de beaucoup de sang froid agissant pour défendre son pays et son peuple.
C'est à l'évidence ce nationalisme à coloration pan arabe qui inspire Assad qui déplaît aux puissances coloniales occidentales et à leur satellite "Israël" occupant la Palestine raison pour laquelle il s'acharne à le diaboliser et à le renverser car pour ces colonialistes revanchards cramponnés à une idéologie désuète du XXème siècle dont l'entité coloniale juive sioniste est le dernier avatar un pays "ami" est un pays soumis.
La France de Hollande ne sort pas grandie de cette politique de guerre au Moyen Orient - et aussi en Afrique - initiée sous Sarkozy mais reprise avec ardeur par la clique de la dictature rose.