ELWATAN-ALHABIB
dimanche 24 octobre 2010
 

Preuve à l'Appui



: le Génocide



irakien


Julian Assange dénonce des crimes commis par les USA en effet ces derniers violent le droit internationale.



DJAMELITO
Dimanche 24 Octobre 2010

USA=ASSASSINS ?

Preuve à l'Appui : le Génocide irakien

Julian Assange, qui a assuré samedi 23 octobre à Londres vouloir montrer "la vérité" de la guerre en Irak, braque les projecteurs de l'actualité sur les scandales cachés de la planète avec son site WikiLeaks, mais cultive ses zones d'ombre avec un art consommé du secret.

Fondateur et figure emblématique du site spécialisé dans les fuites de documents confidentiels, cet Australien de 39 ans au parcours trouble accumule les révélations de l'Irak au Kenya en passant par l'Islande et la guerre en Afghanistan.

En diffusant 400.000 documents confidentiels qui révèlent les nombreux cas de torture commis sur les Irakiens et couverts par l'armée américaine, WikiLeaks cherche "la vérité", selon Julian Assange.

"Nous voulons trois choses: libérer la presse, révéler les abus et sauvegarder les documents qui font l'Histoire", avait expliqué en août le numéro un de WikiLeaks à l'AFP à Stockholm.





En publiant 77.000 documents militaires confidentiels sur l'Afghanistan fin juillet, il avait déjà suscité une tempête médiatique et déclenché une salve de critiques du Pentagone qui l'accuse d'irresponsabilité et de mettre en danger militaires et civils.

"Nous n'avons pas pour but que des gens innocents soient blessés", s'est défendu Julian Assange fin septembre à Londres. "Nous avons précisément l'objectif opposé", a-t-il assuré.

Il est devenu celui qui fait trembler la CIA, le chasseur d'abus, l'apôtre de la transparence... mais est resté un homme énigmatique qui refuse - précaution parmi tant d'autres - de donner la date exacte de sa naissance.

"Nous faisons face à des organisations qui n'obéissent pas aux règles. Nous sommes face à des agences de renseignement", a-t-il dit à Stockholm.

Quelques jours après cet entretien, Julian Assange a été accusé dans une affaire de viol en Suède, qu'il a démenti catégoriquement et qualifié de "coup monté".

Mais le porte-parole de WikiLeaks s'est montré encore plus discret depuis.

Né en 1971 - il refuse d'être plus précis - sur Magnetic Island, dans le nord-est de l'Australie, Julian Assange passe une enfance nomade qui lui vaut de fréquenter 37 écoles, comme il l'a raconté à des médias australiens.

Adolescent à Melbourne, il se découvre un talent de pirate informatique. Mais la police lui met la main dessus et il s'en tire, en plaidant coupable, avec une amende et un serment de bonne conduite.

Ensuite, "j'ai été conseillé en sécurité, j'ai fondé une des premières compagnies de services informatiques en Australie, j'ai été consultant en technologie, chercheur en journalisme, j'ai coécrit un livre".

Il fonde WikiLeaks en 2006, avec "une dizaine de personnes venant du milieu des droits de l'homme, des médias et de la haute technologie".

Grand, mince, poli, le sourire volontiers ironique, il pèse chaque mot, marque un temps de silence avant de répondre, aboutissant à un discours limpide mais très maîtrisé.

Insaisissable, refusant de dire d'où il vient et où il va, il saute de capitale en capitale, logeant chez des partisans ou des amis d'amis.

Il a coupé cet été ses longs cheveux blonds argentés qui lui valaient parfois d'être comparé à un ange.

Difficile à contacter- il utilise plusieurs téléphones et change souvent de numéros -, il n'a pas fait d'apparition publique depuis l'affaire suédoise en dehors d'une conférence à Londres le 30 septembre et une le 23 octobre.

L'Islande et la Suède, où il bénéficie de soutiens et de législations favorables, sont des escales privilégiées dans son voyage permanent autour du globe, de Londres à Nairobi, des Pays-Bas à la Californie. Mais la Suède lui a refusé cette semaine un permis de résidence.

A Reykjavik début mars, il avait raconté à l'AFP avoir longtemps vécu au Kenya. Il travaillait alors en Islande au "projet B".

Enfermé des semaines dans une maison aux rideaux en permanence tirés, il y met au point, avec quelques partisans de WikiLeaks, leur premier grand scoop: la vidéo prise par la caméra d'un hélicoptère militaire d'une bavure de l'armée américaine à Bagdad en 2007.

Erudit, il milite pour un nouveau journalisme. "On nous demande souvent: est-ce que vous vérifiez vos sources? Mais nous, nous vérifions des documents. Nous appelons, nous demandons: ces documents sont-ils les vôtres ? Oui, non, peut-être? Et je pense que c'est une exigence bien supérieure", dit-il.


2010 AFP.

Site de Julian Assange : http://wikileaks.org/


… Il faut transmettre le Savoir et la Vérité…
… La Vérité finit toujours par se Savoir…


DJAMELITO

http://djamelitoinfo.blogspot.com
 
vendredi 22 octobre 2010
 




Décodage de 25

techniques de

désinformation




vigli.org

Jeudi 21 Octobre 2010


Décodage de 25 techniques de désinformation

Décodage de 25 techniques de désinformation
Voici quelques techniques courantes utilisées par différents organes de
pouvoir – publics ou privés –
cherchant à occulter des vérités qui dérangent. Il est utile de garder
ces concepts à l’esprit lors de la
lecture d’informations relatives à des sujets controversés (ils sont
nombreux) … pour autant, règle n°1,
que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans
doute surpris de constater à quel
point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par
des instances officielles, des
"experts" et par extension de nombreux médias.

Jean-Luc Guilmot – Juin 2008

Technique n°1 : Evitement
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en
parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il
n’y a pas lieu de s’en occuper.

Technique n°2 : Superficialité
N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points
mineurs voire pittoresques. Eviter soigneusement les
points clés de l’argumentation.

Technique n°3 : Indignation
Rejeter le sujet de façon indignée ("jamais une chose
pareille ne serait possible"). Jouer sur le sentiment
d’incrédulité ("il y aurait eu des fuites", "ça se saurait", …)

Technique n°4 : Rumeur
Considérer la controverse comme une rumeur de plus,
sans fondements, quels que soient les arguments
présentés.

Technique n°5 : Homme de paille
Présenter la position de son adversaire de façon
volontairement erronée, en sélectionnant son argument le
plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.

Technique n°6 : Messager
Décrédibiliser le porteur du message. Par extension,
associer les opposants à des dénominations impopulaires
telles que "excentrique", "extrême-droite", "gauchiste",
"terroriste", "conspirationniste", "radical", "fanatique", ou
même "blonde" etc…

Technique n°7 : Biais
Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser
que l’opposant opère en dissimulant ses véritables
intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.

Technique n°8 : Confusion
Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire
référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué
laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.

Technique n°9 : Autorité
S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et
présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de
détails techniques et de sources pour les crédibiliser.

Technique n°10 : Innocence
Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments
de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute
crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou
tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.

Technique n°11 : Amalgame
Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues
facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait
d’autres opposants. En y étant associées, les charges
subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors
beaucoup plus facilement discréditées.

Technique n°12 : Diviser
Diviser pour mieux régner et par extension mettre
l’accent sur les différences entre les différents courants
des opposants et l’impression de chaos que cela procure.

Technique n°13 : Pseudo-débat
Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis
démentir par une succession de déclarations issues de
sources faisant apparemment autorité.

Technique n°14 : Confession
Admettre avec candeur que des manquements (mineurs)
ont été identifiés et que des solutions ont été apportées.
Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la
controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.

Technique n°15 : Edulcorer
Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour
décrire le problème.

Technique n°16 : Enigme
Les énigmes n’ont pas de solution. Etant donné la
multitude des paramètres, des intervenants et de leurs
interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne
pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment
utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…

Technique n°17 : Solution complète
Eviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il
fournisse une solution complète à la résolution de la
controverse.

Technique n° 18 : Omission
Omettre des preuves, des publications ou des
témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont
pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.

Technique n°19 : Sang froid
Amener l’opposant à argumenter dans une position
difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le
décrédibiliser.

Technique n°20 : Expertise
"You don’t bite de hand that feeds you", disent les
Anglais. Créer son propre groupe d’experts et le financer
directement ou indirectement.

Technique n°21 : Preuve impossible
Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme
étant non pertinentes et lui demander des preuves
inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles
ou soustraites au regard du public), techniquement
(années de recherche) ou financièrement.

Technique n° 22 : Déni
Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à
vis de publications, de témoignages ou même de propos
officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme
des "sources non valides" ou "des éléments sortis de leur
contexte".

Technique n°23 : Fausse preuve
Introduire des éléments contradictoires par rapport à
l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de
fausses preuves, par exemple sous la forme d’études
scientifiques au protocole particulièrement étudié.

Technique n°24 : Grand Jury
Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous
les atours de la consultation la plus large et la plus
ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui
fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du
consensus général.

Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’événement ailleurs pour distraire et écarter
l’attention du public

«transmis par florent bigel»

[http://www.vigli.org/PDF911/Decodage_de_25_techniques_de_desinformation.pdf]urlblank: http://www.vigli.org/PDF911/Decodage_de_25_techniques_de_desinformation.pdf
 
mardi 19 octobre 2010
 

A qui profite le



terrorisme ?




Article placé le 18 oct 2010, par Mecanopolis

La guerre menée par le terrorisme, telle qu’elle est présentée par les responsables gouvernementaux, par les médias, par les forces de polices et par les terroristes eux-mêmes contre leurs adversaires déclarés, est tout à fait invraisemblable.

L’exaltation idéologique peut conduire à toutes sortes de crimes, et l’héroïsme individuel comme les assassinats en série appartiennent à toutes les sociétés humaines. Ces sortes de passions ont contribué depuis toujours à construire l’histoire de l’humanité à travers ses guerres, ses révolutions, ses contre-révolutions. On ne peut donc être surpris qu’un mitrailleur, un kamikaze ou un martyre commettent des actes dont les résultats politiques seront exactement opposés à ceux qu’ils prétendent rechercher, car ces individus ne sont pas ceux qui négocient sur le marché des armes, organisent des complots, effectuent minutieusement des opérations secrètes sans se faire connaître ni appréhendés avant l’heure du crime.

Quoiqu’elle veuille s’en donner l’allure, l’action terroriste ne choisit pas au hasard ses périodes d’activités, ni selon son bon plaisir ses victimes. On constate inévitablement une strate périphérique de petits terroristes, dont il est toujours aisé de manipuler la foi ou le désir de vengeance, et qui est, momentanément, tolérée comme un vivier dans lequel on peut toujours pécher à la commande quelques coupables à montrer sur un plateau : mais la « force de frappe » déterminante des interventions centrales ne peut-être composée que de professionnels ; ce que confirment chaques détails de leur style.

L’incompétence proclamée de la police et des services de renseignements, leurs mea-culpa récurrent, les raisons invoquées de leurs échecs, fondées sur l’insuffisance dramatique de crédits ou de coordination, ne devraient convaincre personne : la tâche la première et la plus évidente d’un service de renseignements est de faire savoir qu’il n’existe pas ou, du moins, qu’il est très incompétent, et qu’il n’y a pas lieu de tenir compte de son existence tout à fait secondaire. Pourtant, ces services sont mieux équipés techniquement aujourd’hui qu’ils ne l’ont jamais été.

Tout individu notoirement ennemi de l’organisation sociale ou politique de son pays, et, d’avantage encore, tout groupe d’individus contraint de se déclarer dans cette catégorie est connu de plusieurs services de renseignements. De tels groupes sont constamment sous surveillance. Leurs communications internes et externes sont connues. Ils sont rapidement infiltrés par un ou plusieurs agents, parfois au plus haut niveau de décision, et dans ce cas aisément manipulables. Cette sorte de surveillance implique que n’importe quel attentat terroriste ait été pour le moins permis par les services chargés de la surveillance du groupe qui le revendique, parfois encore facilité ou aidé techniquement lorsque son exécution exige des moyens hors d’atteinte des terroristes, ou même franchement décidé et organisé par ces services eux-mêmes. Une telle complaisance est ici tout à fait logique, eu égard aux effets politiques et aux réactions prévisibles de ces attentats criminels.

Le siècle dernier, l’histoire du terrorisme a démontré qu’il s’agit toujours, pour une faction politique, de manipuler des groupes terroristes en vue de provoquer un revirement avantageux de l’opinion publique dont le but peut être de renforcer des dispositifs policiers pour contrer une agitation sociale, présente ou prévisible, ou de déclancher une opération militaire offensive, et son cortège d’intérêts économiques, à laquelle s’oppose la majorité de la nation.

Allemagne 1933 : Hitler

Le 30 janvier 1933, Hitler est nommé chancelier d’Allemagne et chef du pouvoir exécutif. Pourtant, deux adversaires potentiels sont encore devant lui : le Reichstag, qui vote les lois, arrête le budget et décide la guerre, ainsi que le parti communiste allemand, qui, dans le marasme économique de l’époque, pouvait se relever inopinément et constituer un dangereux concurrent. Le 22 février, Goering, alors président du Reichstag attribue aux SD (Sicherheitsdienst : Service de renseignements de sûreté) des fonctions de police auxiliaire. Le 23, la police perquisitionne au siège du parti communiste et y « découvre » un plan d’insurrection armée avec prises d’otages, multiples attentats et empoisonnements collectifs. Le 27 février, un militant gauchiste s’introduit sans difficultés dans le Reichstag et, avec quelques allumettes, y provoque un incendie. Le feu s’étend si rapidement que le bâtiment est détruit. Tous les experts, techniciens et pompiers, ont témoigné qu’un tel incendie ne pouvait être l’œuvre d’un seul homme. Bien après la guerre, d’anciens nazis confirmeront le rôle des SD dans cet attentat. Dès le lendemain de l’incendie, plusieurs milliers d’élus et de militants communistes sont arrêtés, l’état d’urgence décrété, le parti communiste interdit. Quinze jours plus tard les nazis remportent les élections au Reichstag, Hitler obtient les pleins pouvoirs et, dès juillet 1933, interdit tous les autres partis.

Italie 1970 : les Brigades rouge

Au cours des années septante, l’Italie était au bord d’une révolution sociale. Grèves, occupations d’usines, sabotages de la production, remise en question de l’organisation sociale et de l’Etat lui-même ne semblaient plus pouvoir être jugulé par les méthodes habituelle de la propagande et de la force policière. C’est alors que des attentats terroristes, destinés à provoquer de nombreuses victimes, et attribués à un groupe « révolutionnaire », les Brigades Rouges, sont venu bouleverser l’opinion publique italienne. L’émotion populaire permit au gouvernement de prendre diverses mesures législatives et policières : des libertés furent supprimées sans résistance, et de nombreuses personnes, parmi les plus actives du mouvement révolutionnaire, furent arrêtées : l’agitation sociale était enfin maîtrisée. Aujourd’hui, les tribunaux eux-mêmes reconnaissent que la CIA était impliquée, de même que les services secrets italiens, et que l’Etat était derrière ces actes terroristes.

USA 1995 : Timothy Mc Veigh

Le 19 avril 1995, un vétéran de la première guerre du Golfe, Timothy Mc Veigh, lance contre un bâtiment du FBI, à Oklahoma City, un camion chargé d’engrais et d’essence. Le bâtiment s’effondre et fait cent soixante-huit victimes. Au cours de l’instruction, Mc Veigh a déclaré avoir été scandalisé par l’assaut donné par le FBI, deux ans plus tôt, à une secte d’adventiste à Wacco, dans le Texas. Assaut au cours duquel périrent plus de quatre-vingt membres de la secte, dont vingt-sept enfants. Révolté par ce crime, Mc Veigh était donc parti en guerre, seul, contre le FBI. Et au terme de son procès, largement médiatisé, il a été exécuté, seul, par une injection mortelle, devant les caméras américaines.

Après l’attentat, 58 % des Américains se sont trouvés d’accord pour renoncer à certaine de leur liberté afin de faire barrage au terrorisme. Et dans l’effervescence populaire entretenue par les médias, le président Clinton du signer le consternant antiterrorism Act autorisant la police à commettre de multiples infractions à la constitution américaine.

Au vu des ravages causés par l’attentat, Samuel Cohen, le père de la bombe à neutrons, avait affirmé : « Il est absolument impossible, et contre les lois de la physique, qu’un simple camion remplis d’engrais et d’essence fassent s’effondrer ce bâtiment. » Deux experts du Pentagone étaient même venu préciser que cette destruction avait été « provoquée par cinq bombes distinctes », et avaient conclu que le rôle de Mc Veigh dans cet attentat était celui de « l’idiot de service ».

Au cours de son procès, Mc Veigh a reconnu avoir été approché par des membres d’un « groupe de force spéciales impliquées dans des activités criminelles ». Le FBI ne les a ni retrouvés, ni recherchés. Mais dans cette affaire, la police fédérale a dissimulé tant d’informations à la justice qu’au cours de l’enquête, l’ancien sénateur Danforth a menacé le directeur du FBI d’un mandat de perquisition, mandat qu’il n’a pu malheureusement obtenir. L’écrivain Gore Vidal affirme, dans son livre La fin de la liberté : vers un nouveau totalitarisme, sans hésiter : « Il existe des preuves accablantes qu’il y a eu un complot impliquant des milices et des agents infiltrés du gouvernement afin de faire signer à Clinton l’antiterrorism Act ».

USA : 11/9

La situation mondiale exige l’ouverture continuelle de nouveaux marchés et demande à trouver l’énergie nécessaire pour faire fonctionner la production industrielle en croissance constante. Les immenses réserve des pays arabes, et la possibilité des se les approprier, d’acheminer cette énergie à travers des zones contrôlées, font désormais l’objet de conflits entre les USA, décidés à asseoir leur hégémonie, et les autres pays d’Europe et d’Asie. S’emparer de telles réserves aux dépends du reste du monde exige une suprématie militaire absolue et d’abord une augmentation considérable du budget de la défense. Mesures que la population américaine n’était, il y a quelques années encore, aucunement disposée à entériner. Le 11 janvier 2001, la commission Rumsfeld évoquait qu’un « nouveau Pearl Harbour constituera l’évènement qui tirera la nation de sa léthargie et poussera le gouvernement américain à l’action.»

Les services de renseignements américains, qui prétendaient tout ignorer de l’attentat du 11 septembre, étaient si bien averti dans les heures qui ont suivi, qu’ils pouvaient nommer les responsables, diffuser des comptes rendus de communications téléphoniques, des numéros de cartes de crédit, et même retrouver inopinément le passeport intact d’un des pilotes terroristes dans les ruines fumantes des deux tours, permettant ainsi de l’identifier ainsi que ses présumés complices. La version des autorités américaines, aggravée plutôt qu’améliorée par cent retouches successives, et que tous les commentateurs se sont fait un devoir d’admettre en public, n’a pas été un seul instant croyable. Son intention n’était d’ailleurs pas d’être crue, mais d’être la seule en vitrine.

Le pouvoir est devenu si mystérieux qu’après cet attentat, on a pu se demander qui commandait vraiment aux Etats-Unis, la plus forte puissance du monde dit démocratique. Et donc, par extension, on peut se demander également qui peut bien commander le monde démocratique ?

Démocratie : Etat et Mafia

La société qui s’annonce démocratique semble être admise partout comme étant la réalisation d’une perfection fragile. De sorte qu’elle ne doit plus être exposée à des attaques, puisqu’elle est fragile ; et du reste n’est plus attaquable, puisque parfaite comme jamais société ne fut. Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi : le terrorisme. L’histoire du terrorisme est écrite par l’Etat, elle est donc éducative. Les populations ne peuvent certes pas savoir qui se cache derrière le terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique.

On se trompe chaque fois que l’on veut expliquer quelque chose en opposant la Mafia à l’Etat : ils ne sont jamais en rivalité. La théorie vérifie avec efficacité ce que toutes les rumeurs de la vie pratique avaient trop facilement montré. La Mafia n’est pas étrangère dans ce monde ; elle y est parfaitement chez elle, elle règne en fait comme le parfait modèle de toutes les entreprises commerciales avancées.

La Mafia est apparue en Sicile au début du XIXe siècle, avec l’essor du capitalisme moderne. Pour imposer son pouvoir, elle a du convaincre brutalement les populations d’accepter sa protection et son gouvernement occulte en échange de leur soumission, c’est-à-dire un système d’imposition directe et indirecte (sur toutes les transactions commerciales) lui permettant de financer son fonctionnement et son expansion. Pour cela, elle a organisé et exécuté systématiquement des attentats terroristes contre les individus et les entreprises qui refusaient sa tutelle et sa justice. C’était donc la même officine qui organisait la protection contre les attentats et les attentats pour organiser sa protection. Le recours à une autre justice que la sienne était sévèrement réprimé, de même que toute révélation intempestive sur son fonctionnement et ses opérations.

Malgré ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas la Mafia qui a subvertit l’Etat moderne, mais ce sont les Etats qui ont concocté et utilisé les méthodes de la Mafia. Tout Etat moderne contraint de défendre son existence contre des populations qui mettent en doute sa légitimité est amené à utiliser à leur encontre les méthodes les plus éprouvées de la Mafia, et à leur imposer ce choix : terrorisme ou protection de l’Etat.

Mais il n’y a rien de nouveau à tout cela. Thucydide écrivait déjà, 400 ans avant Jésus-Christ, dans La guerre du Péloponnèse : « Qui plus est, ceux qui y prenaient la parole étaient du complot et les discours qu’ils prononçaient avaient été soumis au préalable à l’examen de leurs amis. Aucune opposition ne se manifestait parmi le reste des citoyens, qu’effrayait le nombre des conjurés. Lorsque que quelqu’un essayait malgré tout des les contredire, on trouvait aussitôt un moyen commode des les faire mourir. Les meurtriers n’étaient pas recherchés et aucune poursuite n’était engagée contre ceux qu’on soupçonnait. Le peuple ne réagissait pas et les gens étaient tellement terrorisés qu’ils s’estimaient heureux, même en restant muet, d’échapper aux violences. Croyant les conjurés bien plus nombreux qu’ils n’étaient, ils avaient le sentiment d’une impuissance complète. La ville était trop grande et ils ne se connaissaient pas assez les uns les autres, pour qu’il leur fût possible de découvrir ce qu’il en était vraiment. Dans ces conditions, si indigné qu’on fût, on ne pouvait confier ses griefs à personne. On devait donc renoncer à engager une action contre les coupables, car il eût fallut pour cela s’adresser soit à un inconnu, soit à une personne de connaissance en qui on n’avait pas confiance. Dans le parti démocratique, les relations personnelles étaient partout empreintes de méfiance, et l’on se demandait toujours si celui auquel on avait à faire n’était pas de connivence avec les conjuré ».

Aujourd’hui, les manipulations générales en faveur de l’ordre établi sont devenues si denses qu’elles s’étalent presque au grand jour. Pourtant, les véritables influences restent cachées, et les intentions ultimes ne peuvent qu’être assez difficilement soupçonnées, presque jamais comprises.

Notre monde démocratique qui, jusqu’il y a peu, allait de succès en succès, et s’était persuadé qu’il était aimé, a du renoncer depuis lors à ces rêves ; il n’est aujourd’hui plus que l’arme idéologique d’un nouvel ordre mondial.

Publié sur Mecanopolis le 18 octobre 2010

 
samedi 16 octobre 2010
 

La racaille juive

sioniste et sa raison,



Vivre en France est peut être le meilleur gage de démocratie et de liberté, il n’empêche que les sionistes, dès leur plus tendre enfance, sont endoctrinés a détruire chaque pensée libre ou chaque liberté d’expression ou journaliste un peu trop libre. comme il est démontré dans chaque procès mené contre les personnes libre de penser, si les sionistes mettaient autant de sérieux a poser les pierres les unes sur les autres pour construire un pays au lieu de détruire par la propagande, le meurtre de masse, et le terrorisme international, nous ne serions plus les pays les plus endettés du monde.

Grâce aux juifs sionistes, nous sommes devenus bien plus endettés que les pays africains.
Car ils commencent dans la sournoiserie et très tôt a nous envoyer dans d’interminable procès idéologique pour que l’on cesse de protéger les opprimés… de défendre ceux qui sont opprimés par les juifs sionistes… des procès ou des juges sont a leurs bottes puisque sionistes. Dès que vous avez le moindre mot qualifiant l’entité criminelle qui sert de pseudo refuge a des gens comme JSS de pire abjection, vous êtes instamment marqué comme les nazis le faisaient.

Pauvre juifs sionistes dont la seule éducation se résume a la haine, la barbarie volontaire et la vengeance par le sang au point de lancer des appelles de meurtre de masse par leur rabbins yoseph machin. Il suffit de lire leurs médias et vous comprendrez leur mentalité… certains de leur responsable idéologique de l’entité purulente, prônent le meurtre des jeunes qui lancent des pierres pour se défendre des voitures béliers kamikazes… imaginez un seul instant que vous lancez une pierre contre un juif sioniste qui a volontairement percuté votre enfant de 7 ans, et par-dessus tout, vous êtes condamnés par le tribunal sioniste a la peine de mort…. est ce cela la justice de paix de Marek Alter, de JSS et autres juifs sionistes violent. Mettez vous a la place d’une personne qui est touché par le harcèlement, l’humiliation, le blocus et la barbarie contre la population palestinienne…

Vous voulez avec empathie soutenir un peuple opprimé même ou les juifs sionistes, pour fêter leur shabaat , imposent des blocus sur la circulation des palestiniens. vous seriez presque en larme devant tant d’humiliation, devant autant de haine et de torture sur des enfants parfois a peine âgées de 13 ans… ou des juifs sionistes, pour traverser avec toute l’arrogance des occupants une ville palestinienne, détruisent des plantations, des arbres, tuent des animaux et pour finir, renversent des enfants palestiniens.

Comment peut-on agir, en tant que français, si un juif sioniste occupant notre pays renverse un enfant ? Resteriez-vous impassible devant autant de barbarie ? Dans la condition d’occupé, et d’opprimé, comme nous l’avion été lors des nazis, nous ferions tout pour nous libérer ?… nous, pour les droits de L'homme, et pour la liberté des peuples, nous serions du coté des palestiniens, des opprimés et non du coté des nazis. A moins d’avoir quelques sentiment pour les nazis occupants un pays occupé par le terrorisme et la force la plus sanguinaire.

Je me mets a la place d’un enfant qui a vu ses parents emprisonnés, ses cousins, ses frères et sœurs, ses amis, ses copains terrorisés par les juifs sionistes, et assurément tués, estropiés ou torturés… nous sommes en France, et occupé par des juifs sionistes assoiffés de sang des français… imaginons un seul instant que nous sommes dans la condition d’un palestiniens :

Vous voulez aller chez le médecin, des juifs sionistes armés jusqu'aux dents vous insultes, vous demandent votre passe, vous font attendre pendant des heures, sous un soleil de 40 a 50° et parfois même vous donnent des coups de crosses ou de pieds et vous crachent dessus.
Vous êtes assis, a une terrasse de café et tout d’un coup un groupe de fasciste juifs sionistes enguirlandés vous lancent des pierres, vous craches dessus et par-dessus tout, ils sont protégés par les mercenaires de tsahal… au cas ou vous répondez.

Vos parents, pères et mères sont sur le balcon, alors que vous êtes en train de regarder un bon vieux film, des coups de feu viennent percuter la façade de votre maison. C’était le jour de shabaat, un samedi matin, votre mère est au fond d’une chaise criblé de balle, et votre père est a terre gisant dans une marre de sang… qu’allez vous penser après cela ? Qu’allez-vous faire sachant que vous n’avez aucun moyen pour vous défendre ?

Non seulement vous évoquez que ces occupants juifs sionistes sont de la pire grappe, mais qu’ils sont les voleurs de terre, que vos parents, vos arrières grand parents ont soigneusement entretenue… et voila que des voleurs juifs sionistes venant d’un autre continent, vous disent qu’un cadastre divin réclame la terre sainte… et au nom de leur cadastre divin, ils vous affament, vous assassinent et pour finir vous volent… que feriez vous dans ces conditions ?

Espérons que le dieu divin, qui leur a envoyé un message cadastrale leur rappelle que le judaïsme ne prône pas la torture systématique, le viol, le vol, la spoliation, le mensonge et la guerre perpétuelle sur cette terre. Que le sang d’autrui est aussi rouge que celui des juifs sionistes… que le sang du goïm n’est pas impur et qu’il n’est pas nécessaire de tuer pour survivre.

Certains rabbins fascistes devraient être interdits pour éviter tout endoctrinement des petits nazillons juifs sionistes du style de JSS.

Non, mais lorsque je lis son site, JSS est un monstre de propagande, de mensonge et d’inversion… que voulez vous, un sioniste biberonne au sionisme, vit sioniste, mâche sioniste, et ment sioniste…

C’est une idéologie qui dépasse de loin le nazisme… ils en sont les fondateurs
 
vendredi 15 octobre 2010
 
Ahmadinejad au Liban : gloire méritée !!
Leila Mazboudi

15/10/2010
A l’heure de la publication de cet article, l’invité iranien exceptionnel du Liban, le président Mahmoud Ahmadinejad devrait être arrivé depuis bien longtemps dans son pays. Parfaitement sain et sauf.
Ni les menaces proférées ici et là par les dirigeants israéliens, mettant en garde ce qu’ils considèrent être « la bête noire » d’Israël de s’approcher de ce qu’ils qualifient être « la porte d’Israël », ni les appels, ou les insinuations laissant entendre qu’il pourrait très bien être liquidé n’auront servi à le dissuader.
Ni les avertissements américains qui n’ont cessé de pleuvoir, qu’il ne faut en aucun cas ni dire ni faire ce qui pourrait être perçu comme une provocation pour Israël, n’auront eu d’impact sur lui.

Ahmadinejad s’est bel et bien rendu aux portes de la Palestine occupée. Osant dire ce qu’il a à dire : « les sionistes disparaitront !! » et « Jérusalem AlQuds sera libéré ». Sur la place même où son grand frère, Sayed Hassan Nasrallah avait lancé un 26 mai 2000 : « Israël est plus fragile qu’une toile d’araignée ». ( Bint Jbeil)
Et osant faire ce qu’il a à faire : prier et se recueillir en toute quiétude sur la tombe des quelques 150 martyrs tués par deux massacres israéliens en 1996 et 2006. (Qana)

Avec ce qui s’est passé avant et après, dans la capitale libanaise, tout laisse croire que les 48 heures nejadiennes relèvent de l’inédit, dans toute l’histoire du Liban.
Et à tous les plans :
L’officiel en premier : dans toutes les cérémonies organisées par les trois présidents de l’exécutif, du législatif, toute la classe politique libanaise était au rendez-vous.
Mêmes les personnalités les plus pro américaines, voire celles qui ne cessent de semer la peur sur un soi-disant projet iranien. Même si au cours des déjeuners et des dîners, elles affichaient des visages blêmes et agacés.
De point de vue populaire, c’est également du sans précédent. Jamais un chef de l’état étranger n’a suscité un tel déferlement, avec autant de ferveur et d’enthousiasme. Le tout en farsi : Khoch Amedid. (Bienvenue). C’est la première fois qu’une langue étrangère vient rivaliser le français et l’anglais !!

Par la suite, il y eut aussi les rencontres avec toutes les références spirituelles du pays, chrétiennes et musulmanes ; avec la majeure partie des chefs des partis politiques de l’opposition et du centre, ainsi que les personnalités indépendantes.
Sans compter la cérémonie inédite que l’Université libanaise a organisée, au cours de laquelle le président iranien prononça un discours sans précédent sur l’exploitation de l’Occident de la science, et où il fut décerné d’un doctorat d’honneur.
D’autres décernements lui ont également été accordés : De tout le Liban, via le président de la république, de la part des partis libanais (de l’opposition) et de la part du Rassemblement des ulémas chiites et sunnites.

Et puis, il ne faut pas oublier non plus les 17 accords conclus, l’arbre de l’amitié irano-libanaise plantée au palais présidentiel, le nanoscope conçu entièrement en Iran offert au Liban, et puis le cadeau de Sayed Nasrallah : un fusil pris comme butin d’un soldat israélien tué par la résistance.


Durant la visite du leader iranien, des journalistes libanais ont rappelé que le raïs égyptien Jamal Abdel Nasser, à la popularité inégalable au Liban et au monde arabe, n’a pu visiter le Liban, au plus fort de son mouvement libérateur en 1958.
Tout juste une tente lui avait été dressée à la frontière libano-syrienne, sous laquelle le président libanais qui était alors le général Fouad Chéhab lui accorda quelques moments. Et pour cause : le « maronisme politique » rallié au pacte américain de Bagdad était hostile. Le Liban se trouvant alors aux périphéries du conflit israélo-arabe.

Depuis, l’Égypte s’est désisté et l’Iran a pris la relève.
Pendant trente ans, il a aidé le Liban à réaliser une des plus belles gloires de son histoire. En 48 heures, les Libanais la lui ont rendue de plus bel.
Gloire méritée.

 
jeudi 14 octobre 2010
 
Nejad:le Liban, la Syrie, la Palestine, la Turquie et l'Iran dans un même front



14/10/2010 Accueilli en grande pompe, mercredi soir, par une foule enthousiaste, dans le stade al-Raya (banlieue-sud) le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad n’a pas caché ses émotions, en remerciant Dieu de lui avoir permis de vivre cet instant et de venir au Liban, qu’il a qualifié de terre bénie et de pays des Libres.

"Mort aux Etats-Unis!" "Mort à Israël!" et "Ahmadi, Ahmadi, Khosh Amdid (bienvenue)" ont scandé les dizaines de milliers de sympathisants, à l'apparition du président iranien qui les a salués, avant d'embrasser le numéro deux du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem.

FRONT COMMUN ENTRE LE LIBAN, LA SYRIE, LA PALESTINE, LA TURQUIE ET L’IRAN


Dans son discours qui a été retransmis en direct par les télévisions israéliennes, M.Ahmadinejad a assuré que le Liban est une école de résistance face aux arrogants du monde.


Il a notamment évoqué un front commun de résistance entre le Liban, la Syrie, l'Irak, la Palestine, la Turquie et l'Iran . "J'annonce que le régime sioniste poursuit sa chute et aucune puissance ne peut le sauver (en raison du) front résistant au Liban, en Syrie, en Palestine,
en Irak et en Turquie", a-t-il affirmé, sous les applaudissements.


Tout en assurant que l'entité sioniste est en pleine déroute, il a invité le peuple du Liban, « pays des purs », à ne pas écouter les démons qui n'aiment pas l'unité et l'harmonie.

« Vous avez jeté le désespoir dans la cour des démons. Sachez que vos causes sont celles de l'Iran. Nous sommes ensemble dans une même tranchée. Votre dignité et votre développement sont les nôtres. Le peuple iranien sera toujours à vos côtés. »


Tout en affirmant que le nouvel ordre mondial doit être global et juste, permettant à tous les peuples de participer à la gestion des affaires du monde, il a rendu un vibrant hommage aux Libanais et surtout aux jeunes moujahidine, leur criant : « L'avenir est à vous. Nous sommes fiers de vous, et nous serons toujours à vos côtés».



ASSASSINAT HARIRI : MANIPULATION POUR CRÉER DES DISSENSIONS


Évoquant la manipulation de l’enquête sur l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, Rafic Hariri, le président iranien a déclaré : "Au Liban, un ami et un patriote a été assassiné de manière vicieuse. Maintenant, en fabriquant des informations et en manipulant un système légal, ils (l'Occident) accusent d'autres amis du crime", a précisé M. Ahmadinejad, en référence au Tribunal spécial pour le Liban (TSL).

"Ils tentent de parvenir à leurs fins en créant des dissensions" entre Libanais, a-t-il encore assuré.





NECESSITE DU RETRAIT DES ENVAHISSEURS, SINON LES CYCLONES DES PEUPLES LES EMPORTERONT


Le président iranien a rappelé comment l'entité israélienne a essuyé des défaites en 1982, à l’issue de l’agression israélienne contre le Liban en 2006 et la dernière riposte courageuse de l'armée libanaise (à Adaïssé). Il assure que ces défaites ainsi que la résistance héroïque à Gaza montrent la faiblesse de l'entité israélienne.



« Se sentant dans une impasse, celui-ci (Israël) peut chercher à provoquer des étincelles, dit-il, mais chaque étincelle ne fera qu'accélérer sa chute (...). Ils parlent de paix et continuent de s'étendre en bafouant les droits palestiniens et les résolutions internationales. L'entité sioniste est raciste et signifie l’expulsion d'un million et demi d'habitants originaires des territoires occupés. »



M.Ahmadinejad a poursuivi que la solution consiste dans « la reconnaissance des droits des Palestiniens et dans le retour des envahisseurs vers leurs pays d'origine, sinon les cyclones du peuple palestinien et des autres peuples libres les
emporteront. »

Ahmadinejad demande à certains régimes de la région d'écouter leurs peuples, qui appuient les Palestiniens. «Quant à ceux qui protègent l'entité sioniste, ils doivent savoir qu'ils doivent mettre un terme à son hégémonie et ils doivent réparer le mal qu'ils ont fait. S'ils se sentent coupables à l'égard des sionistes, ils n'ont qu'à leur donner des compensations chez eux. »


LE MONDE EST A LA VEILLE D’UN GRAND CHANGEMENT

Le président iranien a en outre affirmé que le monde est à la veille d'un grand changement qui commence dans cette région. Il rappelle que les « arrogants » ont utilisé leur force pendant des siècles pour contrôler la région, et à travers elle, le monde. Rien ne les a arrêtés pour imposer leur volonté et ils ont bafoué les aspirations des peuples, leurs cultures et leur dignité. Il a souligné que leur pensée matérialiste est en contradiction avec les principes religieux...



Dans une allusion indirecte au changement de pouvoir aux États-Unis, il a affirmé que les anciens colonisateurs et esclavagistes ont essuyé une violente défaite. Ils ont modifié leurs traits, mais le plan est toujours le même .



ISRAEL CRÉÉ POUR COMPENSER LES DÉGÂTS DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE


S’agissant de l’entité sioniste, M.Ahmadinejad a réitéré qu’ « Israël » a été crée pour compenser les dégâts de la Seconde Guerre mondiale et profitant d'un moment d'égarement des Arabes. « Ils ont implanté une entité hostile et lui ont donné les moyens d'imposer sa force, tout en couvrant ses crimes. Voyez-vous dans le registre des sionistes autre chose que des crimes ?... »


Il a ajouté que cette entité est la concrétisation du projet capitaliste et, pour preuve, il a relevé l'appui unanime dont bénéficie « Israël ». Mais M.Ahmadinejad affirme que les peuples ont d'autres aspirations.


Il a en outre attiré l'attention des présents sur le fait que lorsqu'ils envahissent un pays, les ennemis misent sur la discorde et les divergences religieuses et ethniques. C'est, poursuit-il, ce qui s'est passé en Irak. Il ajoute que les ennemis ne veulent pas d'un peuple fort et uni pour pouvoir lui imposer leurs volontés.

« Heureusement, grâce à l'éveil des peuples, le plan a été découvert. Les peuples connaissent désormais l'importance de l'unité », conclut-il .



ENQUÊTE INDÉPENDANTE SUR LES ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE


Évoquant les événements « douloureux » du 11 septembre 2001 aux États-Unis, M.Ahmadinejad réclame la formation d'une équipe indépendante chargée d'enquêter sur les dessous de ces tragiques événements, d'autant que l’administration américaine en a profité pour envahir l'Afghanistan puis l'Irak.


Ces événements ont ainsi servi de prétexte pour atteindre des objectifs impérialistes. Pour connaître la vérité, il faut ouvrir les boîtes noires, insiste-t-il.


Selon lui, c'est une issue honorable pour tout le monde car il semble de plus en plus clair que ces événements ont été accomplis selon un plan préétabli ayant des objectifs expansionnistes.


Pour M.Ahmadinejad, la solution consiste dans le retrait (des Américains) de la région, la présentation d'excuses aux populations et le versement d'indemnités. « Sinon, les peuples de la région, avec l'aide de Dieu, les expulseront et livreront les coupables à la justice .



AHMADINEJAD RECLAME LA LIBERATION DES DETENUS PAR ISRAEL

Le président iranien a également évoqué les milliers de détenus palestiniens dans les geoles israéliennes et il informe les présents que l'épouse et le fils de Mohsen Moussaoui, diplomate iranien enlevé au Liban en 1982, font partie de la délégation qui l'accompagne.


Il ajouté que ce diplomate et ses trois compagnons sont encore vivants et retenus en otages en « Israël ». Il réclame pour eux la visite de la Croix-Rouge et la libération, avec les autres « otages palestiniens ».


LA POLLUTION DUE AU CAPITALISME SAUVAGE


Évoquantles modifications climatique, le président iranien a assuré que la pollution de l'air, les changements climatiques, et la crise économique sont dus au système unilatéral et au capitalisme sauvage qui bafoue les valeurs humaines ...







AlManar et Orient Le Jour




 
mercredi 13 octobre 2010
 
Comment l’AFP a couvert la visite d’Ahmadinejad au Liban




Accueilli en héros au Liban, Ahmadinejad loue la "résistance" face à Israël

Par Farhad POULADI



Accueilli en héros à Beyrouth au premier jour de sa visite officielle controversée, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a loué mercredi la "résistance" du Liban face à Israël, son ennemi juré.

Si son séjour est critiqué par le camp pro-occidental au Liban, M. Ahmadinejad a été accueilli par des dizaines de milliers de personnes, notamment sur la route de l'aéroport, à l'appel du Hezbollah, un proche allié de Téhéran et mouvement politique et militaire le plus puissant au Liban.

Du toit ouvrant de sa voiture, il a salué la foule qui poussait des cris de joie et jetait du riz et des pétales de rose sur le convoi en criant "Khosh Amadid! (bienvenue en farsi), Allah Akbar (Dieu est grand en arabe)".

"Cet accueil populaire sera une gifle à tous ceux qui ont critiqué la visite, notamment les États-Unis et Israël, qui vivent dans un état de nervosité à cause de la venue de M. Ahmadinejad", a dit la chaîne du Hezbollah, Al-Manar.

Elle faisait référence à la préoccupation concernant cette visite exprimée par Washington et Israël qui s'affrontent avec l'Iran au sujet du développement controversé de ses capacités nucléaires et l'accusent d'armer le Hezbollah.

Depuis Pristina, la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, a affirmé que son pays était contre les efforts de "déstabiliser" le Liban, en référence à la visite de M. Ahmadinejad. Et, en Israël, un député d'extrême droite, Arié Eldad, a préconisé d'éliminer le président iranien.

Au palais présidentiel de Baabda près de Beyrouth, M. Ahmadinejad a affirmé que son pays soutenait "avec force la résistance du peuple libanais contre le régime sioniste", lors d'une conférence de presse avec son homologue libanais Michel Sleimane.

"Nous avons tous les deux des intérêts et des ennemis communs", a-t-il affirmé, en référence à Israël que le Hezbollah a combattu en 2006 ainsi que dans le sud du Liban jusqu'au retrait des troupes israéliennes en 2000 après 22 ans d'occupation.

Le président conservateur, qui effectue sa première visite au Liban depuis son élection en 2005, a estimé que cette "résistance" avait changé "l'équilibre de force dans la région", l'Etat hébreu n'étant pas parvenu à neutraliser le Hezbollah en 2006.

Les deux présidents ont par ailleurs signé plus d'une dizaine d'accords portant sur l'énergie, le commerce, le tourisme et les technologies.
M. Ahmadinejad a aussi rencontré le Premier ministre soutenu par les Etats-Unis et l'Arabie saoudite, Saad Hariri, et le chef du Parlement Nabih Berri.

En soirée, il devrait apparaître au côté du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah lors d'un important rassemblement populaire organisé par le parti chiite considéré comme une organisation terroriste par les États-Unis.

Jeudi, au deuxième et dernier jour de sa visite M. Ahmadinejad se rendra dans des villages du sud frontalier d'Israël, durement touchés en 2006 et reconstruits en grande partie grâce à l'aide iranienne.

La visite a créé la controverse au Liban en raison de l'important appui de Téhéran au Hezbollah, la majorité parlementaire dirigée par M. Hariri reprochant à Téhéran son "ingérence" et craignant que le pays ne devienne une "base iranienne" aux portes de l'Etat hébreu.
"Pourquoi est-il là? Je suis dégoûtée", affirme Mona, 43 ans, devant sa maison à Dora, au nord de Beyrouth. "Ils parlent d'Ahmadinejad comme s'il était un sauveur alors qu'il a gâché notre vie".

"Ce n'est plus notre pays, c'est le pays du Hezbollah et de l'Iran", estime Georges, un chrétien de la même région.
Pour un commerçant sunnite, Raed Khalil, de Tripoli (nord), "le Hezbollah est prêt à vendre le Liban si Téhéran le lui demande".

(AFP)

 
"Si vous n’y prenez pas garde, les journaux finiront par vous faire haïr les opprimés et adorer les oppresseurs." Malcom X

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