BIENTÔT UN DÉLIT DE "BLASPHÈME" CONTRE ISRAËL? VALLS DÉCLARE VOULOIR «MENER DES POLITIQUES FORTES CONTRE L'ANTISIONISME».
Lundi 7 mars, le Premier ministre participait au dîner du Conseil représentatif des institutions juives {http://panamza.com/14515}.
Lors de son discours, rédigé initialement pour François Hollande (absent pour cause de sommet européen), Manuel Valls a "repris" et "ajouté" (selon son entourage) des éléments au texte préparé pour le chef de l'État {http://panamza.com/bgi}.
Extraits de son discours :
"Il y a l’antisémitisme des beaux quartiers, il y a aussi l’antisémitisme dans les quartiers populaires d’une jeunesse radicalisée. Et puis il y a la haine d’Israël, il y a l’antisémitisme, et il y a l’antisionisme, c’est-à-dire tout simplement le synonyme de l’antisémitisme et de la haine d’Israël .
Les paroles doivent être suivies par les actes. Des actes forts, soutenus par des politiques publiques volontaristes. Il ne faut pas avoir peur de mener ces politiques. Mener des politiques fortes contre l’antisémitisme ou l’antisionisme ne fera pas perdre des voix ici ou là dans tel ou tel quartier, elle honorera tous ceux qui seront engagés dans ce combat".
Rappel : l'antisionisme constitue simplement la critique structurelle de l'État d'Israël, de même qu'il existait autrefois une critique structurelle du régime d'apartheid de l'Afrique du sud.
À New-York, des milliers de juifs orthodoxes se rassemblement ainsi régulièrement pour protester contre l'existence même du régime colonial et ségrégationniste de Tel Aviv {https://youtu.be/Gg9jPp8vRjI}.
Les propos de Manuel Valls, totalement alignés sur la position ultra-sioniste du Crif, interviennent en pleine croissance internationale du mouvement "Boycott Désinvestissement Sanctions" (BDS) à propos duquel le Premier ministre osa affirmer, hier soir, qu'il avait une "forte odeur de pétrole et de gaz" {http://panamza.com/bgj}.
Lundi 7 mars, le Premier ministre participait au dîner du Conseil représentatif des institutions juives {http://panamza.com/14515}.
Lors de son discours, rédigé initialement pour François Hollande (absent pour cause de sommet européen), Manuel Valls a "repris" et "ajouté" (selon son entourage) des éléments au texte préparé pour le chef de l'État {http://panamza.com/bgi}.
Extraits de son discours :
"Il y a l’antisémitisme des beaux quartiers, il y a aussi l’antisémitisme dans les quartiers populaires d’une jeunesse radicalisée. Et puis il y a la haine d’Israël, il y a l’antisémitisme, et il y a l’antisionisme, c’est-à-dire tout simplement le synonyme de l’antisémitisme et de la haine d’Israël .
Les paroles doivent être suivies par les actes. Des actes forts, soutenus par des politiques publiques volontaristes. Il ne faut pas avoir peur de mener ces politiques. Mener des politiques fortes contre l’antisémitisme ou l’antisionisme ne fera pas perdre des voix ici ou là dans tel ou tel quartier, elle honorera tous ceux qui seront engagés dans ce combat".
Rappel : l'antisionisme constitue simplement la critique structurelle de l'État d'Israël, de même qu'il existait autrefois une critique structurelle du régime d'apartheid de l'Afrique du sud.
À New-York, des milliers de juifs orthodoxes se rassemblement ainsi régulièrement pour protester contre l'existence même du régime colonial et ségrégationniste de Tel Aviv {https://youtu.be/Gg9jPp8vRjI}.
Les propos de Manuel Valls, totalement alignés sur la position ultra-sioniste du Crif, interviennent en pleine croissance internationale du mouvement "Boycott Désinvestissement Sanctions" (BDS) à propos duquel le Premier ministre osa affirmer, hier soir, qu'il avait une "forte odeur de pétrole et de gaz" {http://panamza.com/bgj}.
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