Fourest et Chalghoumi, célébrés par un ex-agent du Mossad favorable à la torture
INFO PANAMZA. Caroline
Fourest et Hassen Chalghoumi ont été invités à Washington par Memri, une
officine de propagande dirigée par l'Israélien Yigal Carmon, ex-colonel
du renseignement et partisan de l'usage de la torture.
On appelle cela un "réseau".
Le 27 mai, Panamza révélait que Mohamed Sifaoui, fondateur d'une association dédiée à perpétuer "l'esprit Charlie" du 11 janvier et à lutter contre le "complotisme", était un proche des services secrets israéliens. Extrait :
Surprise, surprise : son éminente amie et alliée idéologique a rejoint, elle aussi, le cercle d'influence de Memri.
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Ce dernier a d'ailleurs été chaleureusement présenté par Yigal Carmon comme un homme "courageux".
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Carmon n'est pas seulement un ex-colonel du renseignement militaire israélien reconverti en propagandiste islamophobe et dont le Washington Post avait révélé, en 1995, son parti pris en faveur de l'emploi de la torture.
Mieux encore : d'après le journaliste d'investigation -récemment décédé-
Michael Collins Piper, Carmon fait partie d'un groupe de propagandistes
sionistes (basés à Washington et financés par Tel Aviv) qui aurait tenté d'embaucher secrètement Vince Cannistraro, ex-agent de la CIA devenu expert télévisuel (et donc influent) sur la question terroriste.
Sifaoui, Chalghoumi et Fourest, sans oublier Jeannette Bougrab, Richard Malka et Manuel Valls
: ces soldats de la cause sioniste -dont le zèle en la matière avait
déjà fait l'objet de plusieurs décryptages sur Panamza depuis 2013- sont
précisément ceux qui constituent l'avant-garde médiatisée de
l'islamophobie depuis l'attentat -nimbé de mystères- contre Charlie Hebdo.
Un
conseil : évitez cependant toute évocation publique d'une telle
collusion significative sur le rôle éventuel de l'axe Paris/Tel Aviv
dans les évènements de janvier, sous peine d'être bientôt interpellé
pour délit de "conspirationnisme".
HICHAM HAMZA
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