Le
journaliste et activiste Djameleddine Benchenouf a mis en ligne une
vidéo qu’il a réservée à ses confrères en Algérie qui ont opté pour la
défense des officiers du DRS récemment remerciés par le président
Bouteflika.
Révolté par leurs plaidoiries emphatiques inattendues, monsieur Benchenouf leur adresse une sévère réprimande et leur rafraîchit
la mémoire avec quelques-uns des méfaits du DRS. Loin de défendre le
clan présidentiel, il dira en substance que pire corrupteur que les
hommes du DRS, il n’y en a pas, malgré la grande corruption qui s’est
propagée pendant le règne de Bouteflika. La source du mal c’est eux,
laisse-t-il entendre. Il exprima sa déception de trouver parmi ces
désinformateurs de grandes plumes et surement des confrères qu’il
respectait et qu’il croyait sincères.
Avec le même ton désapprobateur, l’activiste en exil depuis de longue
date évoquera la question du 4e mandat. Il considère que cette question
est un leurre grossier et une prétexte bidon qui cache des desseins
inavoués.
Commentaire:
Amar a dit:
Le DRS : « ORGANISATION CRIMINELLE » et « MAFIA TENTACULAIRE ».
Ceci ressemble à une lapalissade : le serpent demeure un serpent en
dépit de ses mues ! Pourtant, c’est une vérité : le Régime
militaro-mafieux d’Alger avait procédé à plusieurs reprises à des
changements d’appellation pour son « organe répressif » principal. Et ce
n’est pas anodin ou sans intérêt, mais plutôt pour brouiller les
pistes, et tenter d’atténuer les très mauvaises associations liées à sa
nature et son passé amplement criminel et mafieux, comme partout
ailleurs dans le monde les officines semblables ont changé de « logo »
pour mieux tromper et leurrer. Mais, les observateurs avertis ne se
trompent sur la véritable mission de cette « machine à broyer les hommes
et les femmes patriotes » de ce pays.
Le DRS : « organisation criminelle » et « mafia tentaculaire »
Le DRS n’est pas le DRS s’il ne sème pas la terreur ! Exactement
comme la Gestapo. Cette dernière a été définie et qualifiée «
organisation criminelle » par le Tribunal de Nuremberg. Ainsi va du DRS,
dont la logique principale, la marque spécifique de la dite Police
politique du Régime militaro-mafieux d’Alger est « la violence
meurtrière permanente ». Ce « modèle gestapiste » de la violence extrême
est celui emprunté par toutes les Polices politiques des Régime
militaires post 1945, en Europe (Grèce, Espagne, Portugal…) et en
Amérique latine (Chili, Argentine,…). Et c’était en fin connaisseur, de
l’intérieur même de la « boîte » que Mécili disait en 1962 déjà : « Le
MALG va dévorer l’Algérie ! »…..
Assassinats, massacres, tueries, attentats, rapts, kidnappings, la
manipulation massive des extrémistes de tous bords (islamistes,
baassistes, séparatistes, régionalistes, etc.), et toutes autres sortes
de crimes dans son parcours. Faut-il rappeler aussi qu’à sa naissance,
les Généraux français n’avaient ressenti aucune inquiétude : ils
savaient que le MALG de Boussouf est conçu pour exercer le contrôle et
la surveillance de la société, de la population « indigène ». Et c’était
au plus fort de la Guerre d’indépendance que le criminel Boussouf avait
commencé ses besognes sanguinaires, ciblant les héros du mouvement
libérateur : Abbane, Mellah, Amirouche, Zighout et autres grandes
figures de la Résistance contre la barbarie coloniale… La liste est
longue de ces Grands Hommes tombés sous les balles et/ou les tortures du
MALG, de la SM, puis du DRS. Et combien de mouvements, de protestations
ont été cassés, dont la Grève des dockers d’Alger en 1976, le Printemps
berbère et ses suites, le Printemps noir 2001et ses 121 victimes, les
250 000 victimes de la Guerre civile, instiguées et planifiée par le
Cabinet noir, et mise en pratique par le DRS. Les 20 000 disparus, 40
000 veuves, 300 000 orphelins, 900 000 exilés, xxx 000 milliards de
dégâts matériels et logistiques font aussi partie de la comptabilité
macabre induite par la » Stratégie de la tension » érigée par les
Maitres du DRS (1991-2013)….Cette collection d’horreurs pourra être
consignée dans un « Grand Livre noir des Crimes de la Dictature
militaire d’Alger ».
La Police politique a toujours été la « cheville ouvrière » des Coups
d’Etat successifs depuis 1956, qui consacrent la victoire et l’emprise
du Clan fort. Le Pouvoir dictatorial militaire repose sur un « trépied »
: primo, le DRS ; secundo : le Commandement militaire (DRS +
Etat-major) ; tertio, les Clans rivaux, unis contre la population
civile, (bien que) désunis entre eux, en raison de l’immense butin à
partager, le Clan fort étant le Clan le plus fortement
amarré/arrimé/accroché au DRS… Le Régime militaire forme un « mouvement
d’intérêts communs », selon la formule Wébérienne : ses membres, franges
et factions sont animés par des réflexes et des sentiments de
solidarité clanique, familiale et idéologico-politique construits durant
50 ans….Pour une nette et meilleure précision sur les termes et les
notions, il faut dire que ce sont les Maitres du DRS et les Généraux de
l’Etat-major ( la Hiérarchie) qui commandent, et non l’Armée
(l’Institution militaire, cadre institutionnel).
De nos jours, le DRS s’est mué en « mafia tentaculaire », « ramifié »
à tous les domaines d’activité sécuritaire, politique, économique,
sociale et associative, et tissé sa « toile d’araignée », son
quadrillage partout : institutions, associations, entreprises, sociétés,
tous les secteurs, à tous les stades et échelons. Ses agents et
correspondants ont pour domaines de prédilection : le commerce
extérieur, l’import-export, le trabendo, les trafics en tous genres, le
proxénétisme, la prostitution, les hôtels de passes, les lieux de
débauche, les bars et restaurants, la drogue, le net, les sites, les
blogs, les médias, la presse, les radios, partis, associations, le BTP
et autres secteurs où ça rapporte énormément d’argent, l’argent comme
autre instrument de domination. Le DRS recrute fortement dans les
institutions (facs, lycées, hôpitaux, usines, administrations,
entreprises) convoitées quotidiennement par les flux importants de
populations, ces populations que le Régime militaire considère comme «
l’ennemi intérieur », l’ennemi à abattre, et tient à le surveiller, le
contrôler, l’embrigader, le terroriser, le régenter et l’empoisonner par
la propagande et l’intox. Son « système concentrationnaire » constitue
la « 49° Wilaya » : bagnes, prisons, redoutes, cachots, caves…..où ses
sbires assoiffés de sang pratiquent « la torture généralisée », héritée
de triste mémoire, celle des sinistres pratiques d’Aussaresses, Le Pen,
Godard, Léger et compagnie …
Le DRS est « partout et nulle part » ! Partout, du fait de son
quadrillage systématique. Nulle part en raison de son organisation et sa
structuration secrètes, invisibles, imperceptibles…mais décelables !
Le DRS est le Pouvoir réel, le Sommet de la « Pyramide du pouvoir »,
c’est l’Enclave autoritaire principale, la Main de fer des Généraux,
leur Bras politique, la Colonne vertébrale et l’Epine dorsale du Régime
militaire, son Syndicat du crime, son Fer de lance, son Cœur et son
Cerveau, son Centre névralgique, son Mur de soutènement, sa Digue de
protection, sa Force d’interposition……contre tout ce qui peut menacer
les intérêts de la « caste militaro-mafio-bureaucratique » qui détient
le Pouvoir dictatorial, total, intégral, absolu..…
Ceci ressemble à une lapalissade : le serpent demeure un serpent en dépit de ses mues ! Pourtant, c’est une vérité : le Régime militaro-mafieux d’Alger avait procédé à plusieurs reprises à des changements d’appellation pour son « organe répressif » principal. Et ce n’est pas anodin ou sans intérêt, mais plutôt pour brouiller les pistes, et tenter d’atténuer les très mauvaises associations liées à sa nature et son passé amplement criminel et mafieux, comme partout ailleurs dans le monde les officines semblables ont changé de « logo » pour mieux tromper et leurrer. Mais, les observateurs avertis ne se trompent sur la véritable mission de cette « machine à broyer les hommes et les femmes patriotes » de ce pays.
Le DRS : « organisation criminelle » et « mafia tentaculaire »
Le DRS n’est pas le DRS s’il ne sème pas la terreur ! Exactement comme la Gestapo. Cette dernière a été définie et qualifiée « organisation criminelle » par le Tribunal de Nuremberg. Ainsi va du DRS, dont la logique principale, la marque spécifique de la dite Police politique du Régime militaro-mafieux d’Alger est « la violence meurtrière permanente ». Ce « modèle gestapiste » de la violence extrême est celui emprunté par toutes les Polices politiques des Régime militaires post 1945, en Europe (Grèce, Espagne, Portugal…) et en Amérique latine (Chili, Argentine,…). Et c’était en fin connaisseur, de l’intérieur même de la « boîte » que Mécili disait en 1962 déjà : « Le MALG va dévorer l’Algérie ! »…..
Assassinats, massacres, tueries, attentats, rapts, kidnappings, la manipulation massive des extrémistes de tous bords (islamistes, baassistes, séparatistes, régionalistes, etc.), et toutes autres sortes de crimes dans son parcours. Faut-il rappeler aussi qu’à sa naissance, les Généraux français n’avaient ressenti aucune inquiétude : ils savaient que le MALG de Boussouf est conçu pour exercer le contrôle et la surveillance de la société, de la population « indigène ». Et c’était au plus fort de la Guerre d’indépendance que le criminel Boussouf avait commencé ses besognes sanguinaires, ciblant les héros du mouvement libérateur : Abbane, Mellah, Amirouche, Zighout et autres grandes figures de la Résistance contre la barbarie coloniale… La liste est longue de ces Grands Hommes tombés sous les balles et/ou les tortures du MALG, de la SM, puis du DRS. Et combien de mouvements, de protestations ont été cassés, dont la Grève des dockers d’Alger en 1976, le Printemps berbère et ses suites, le Printemps noir 2001et ses 121 victimes, les 250 000 victimes de la Guerre civile, instiguées et planifiée par le Cabinet noir, et mise en pratique par le DRS. Les 20 000 disparus, 40 000 veuves, 300 000 orphelins, 900 000 exilés, xxx 000 milliards de dégâts matériels et logistiques font aussi partie de la comptabilité macabre induite par la » Stratégie de la tension » érigée par les Maitres du DRS (1991-2013)….Cette collection d’horreurs pourra être consignée dans un « Grand Livre noir des Crimes de la Dictature militaire d’Alger ».
La Police politique a toujours été la « cheville ouvrière » des Coups d’Etat successifs depuis 1956, qui consacrent la victoire et l’emprise du Clan fort. Le Pouvoir dictatorial militaire repose sur un « trépied » : primo, le DRS ; secundo : le Commandement militaire (DRS + Etat-major) ; tertio, les Clans rivaux, unis contre la population civile, (bien que) désunis entre eux, en raison de l’immense butin à partager, le Clan fort étant le Clan le plus fortement amarré/arrimé/accroché au DRS… Le Régime militaire forme un « mouvement d’intérêts communs », selon la formule Wébérienne : ses membres, franges et factions sont animés par des réflexes et des sentiments de solidarité clanique, familiale et idéologico-politique construits durant 50 ans….Pour une nette et meilleure précision sur les termes et les notions, il faut dire que ce sont les Maitres du DRS et les Généraux de l’Etat-major ( la Hiérarchie) qui commandent, et non l’Armée (l’Institution militaire, cadre institutionnel).
De nos jours, le DRS s’est mué en « mafia tentaculaire », « ramifié » à tous les domaines d’activité sécuritaire, politique, économique, sociale et associative, et tissé sa « toile d’araignée », son quadrillage partout : institutions, associations, entreprises, sociétés, tous les secteurs, à tous les stades et échelons. Ses agents et correspondants ont pour domaines de prédilection : le commerce extérieur, l’import-export, le trabendo, les trafics en tous genres, le proxénétisme, la prostitution, les hôtels de passes, les lieux de débauche, les bars et restaurants, la drogue, le net, les sites, les blogs, les médias, la presse, les radios, partis, associations, le BTP et autres secteurs où ça rapporte énormément d’argent, l’argent comme autre instrument de domination. Le DRS recrute fortement dans les institutions (facs, lycées, hôpitaux, usines, administrations, entreprises) convoitées quotidiennement par les flux importants de populations, ces populations que le Régime militaire considère comme « l’ennemi intérieur », l’ennemi à abattre, et tient à le surveiller, le contrôler, l’embrigader, le terroriser, le régenter et l’empoisonner par la propagande et l’intox. Son « système concentrationnaire » constitue la « 49° Wilaya » : bagnes, prisons, redoutes, cachots, caves…..où ses sbires assoiffés de sang pratiquent « la torture généralisée », héritée de triste mémoire, celle des sinistres pratiques d’Aussaresses, Le Pen, Godard, Léger et compagnie …
Le DRS est « partout et nulle part » ! Partout, du fait de son quadrillage systématique. Nulle part en raison de son organisation et sa structuration secrètes, invisibles, imperceptibles…mais décelables !
Le DRS est le Pouvoir réel, le Sommet de la « Pyramide du pouvoir », c’est l’Enclave autoritaire principale, la Main de fer des Généraux, leur Bras politique, la Colonne vertébrale et l’Epine dorsale du Régime militaire, son Syndicat du crime, son Fer de lance, son Cœur et son Cerveau, son Centre névralgique, son Mur de soutènement, sa Digue de protection, sa Force d’interposition……contre tout ce qui peut menacer les intérêts de la « caste militaro-mafio-bureaucratique » qui détient le Pouvoir dictatorial, total, intégral, absolu..…