Pourquoi l’Algérie refuse obstinément de figurer sur la liste noire des USA et de la France

Sacrilège ! Les USA et la France ont donc classé l’Algérie dans la liste noire de pays au grand potentiel terroriste. L’Algérie qui avait reçu, pourtant, le titre glorieux de « partenaire privilégié contre le terrorisme international », décerné par les plus hautes autorités américaines. En raison de sa gestion particulièrement vigoureuse de l’islamisme. une hommelette de 200 000 morts, sans compter le détail du reste.
Patriotisme en bandoulière!
L’Algérie officielle a tout aussitôt jeté des cris d’orfraie, jurant ses grands Dieux que c’était une injustice, un geste inamical à son encontre, et une humiliation pour tous les Algériens. Le Ministre algérien des Affaires étrangères, envoyé daredare aux États Unis pour tenter de raisonner les « amis » américains, fut lui même traité comme le dernier des immigrés afghans, à sa descente d’avion, et il fut soumis aux « procédures corporelles de contrôle » comme n’importe quel ressortissant de pays à risques. Il a eu beau se démener dans tous les sens, rappeler qu’il était le premier diplomate de son pays, et plus encore, agiter l’épouvantail de l’incident diplomatique, il n’en dut pas moins se soumettre à une infamante tracasserie. N’importe quel américain moyennement débile aurait vite compris qu’un ministre des affaires étrangères, même d’Algérie, ne va s’amuser à transporter des bombinettes. Mais les règles étant ce qu’elles sont, et les dirigeants algériens étant considérés comme ce qu’ils sont, le ministre algérien n’eut pas d’autre choix que de s’incliner. Sans plus de réaction algérienne que de pathétiques gesticulations. Et des articles de presse touillés d’indignation hérissée, tambouille ordinaire destinée à la consommation des gogos du cru.
Depuis, le régime algérien qui s’était donc glorifié, en son temps, de titre que lui avaient attribué les Étasuniens, de « partenaire privilégié » contre le terrorisme mondial, ne cessé de remuer ciel et terre pour être sorti, vite fait, de cette fameuse liste. C’est le tir de barrage! Il faut tout entreprendre, user de tous les moyens, y compris d’œillades sonores aux lobbies qui bouffent en Algérie, pour écarter cette catastrophe. Oui, une véritable catastrophe pour tous les barons du régime. Nous saurons pourquoi!
En Algérie, où il n’est pas très important de trouver des prétextes qui tiennent la route, pour justifier tout ce déploiement de moyens diplomatiques, médiatiques, financiers et de lobbying que le régime déploie avec frénésie, ils sort le grand jeu à ses nationaux: Pourquoi le Maroc n’a pas été listé ? Le Maroc est-il plus sûr que notre pays? Bien sûr, se répondent-ils eux mêmes, parce que le Maroc est trop docile, alors que nous, nous soutenons les Palestiniens. Ha, ha, haaaaaaaaaa! Parce que nous soutenons le droit à l’autodétermination du Sahara Occidental! Parce que nous avons refusé de marcher dans la combine de l’Africom, et que nous n’avons pas accepté leur projet de base américaine au Sahel. Ha, ha, haaaaaaaaa! Parce que nos positions à l’ONU dérangent les Américains, nous qui soutenons toutes les causes justes. Mais l’Algérie n’acceptera jamais que ses ressortissants soient humiliés dans les aéroports américains et français, comme n’importe quel terroriste. Jamais!
Toutes ces professions de foi s’étalent en grand et en gras sur tous les journaux « indépendants » algériens. Et d’autres encore, comme celle-ci: L’Algérie, attachée aux valeurs de novembre, forgées par le sang des martyrs, et bla bla bla…
Si ce n’était un problème de mode, ils auraient même sorti les fameux slogans des années 70, sur l’impérialisme américain, les ennemis de l’extérieur, la position historique et jalousée de l’Algérie, et bla, bla, bla.
Les dirigeants algériens usent sans vergogne de ces pétarades juste parce qu’ils considèrent les autres algériens comme des simplets prêts à croire n’importe quoi qui flatte un tant soit peu leur égo national, et qui sont même capables de s’enflammer comme des torches, et même de manifester spontanément, si l’ordre en est donné. On a vu ça avec les matchs contre Égypte.
Une information au top…de la désinformation!
Mais ils ne se gênent pas, par ailleurs de recourir à ces prétextes cousus de fil blanc, parce qu’ils savent très bien que la véritable information ne parvient pas à la majorité de leurs « sujets ». 99% des Algériens ne savent pas qu’une base américaine a été construite au Sahara, dans le sillage de l’affaire BRC, et qu’elle a été démantelée en catastrophe parce que le régime a failli imploser. Parce que des officiers de l’Armée algérienne commençaient à gronder, et qu’une affaire de haute trahison était dans l’air. Ils ne savent pas que la Qaida du Maghreb Islamique est une invention d’une aile du DRS avec ses amis américains du Pentagone et de la CIA, qui voulaient créer une tension terroriste internationale dans le Sahel, pour justifier l’installation d’une force américaine dans la région. Non pas en Algérie, mais en plein Sahel.
Le Sahel, qui est le centre du monde géographique, au milieu d’une région pétrolifère et gazière d’envergure, et une place stratégique de choix pour contrer l’implantation de la Chine dans le continent africain utile. Les Américains, excédés par le double discours algérien, ont déclaré, officiellement, par l’entremise d’un général américain, puis par celle de leur Secrétaire d’État, qu’ils ne sont pas intéresses par l’implantation d’une base en Algérie, mais cela n’a pas empêché le régime algérien, et ses porte plume attitrés, de continuer à clamer qu’ils n’acceptera jamais de base américaine dans « son » pays.
Les Algériens sont l’un des peuples les plus manipulés de la planète. Hormis une minorité qui tente de s’informer tant bien que mal, ils ne savent pas que le DRS et d’autres structures de l’armée algérienne ont collaboré très activement avec les américains depuis les années de recrutement djihadiste pour l’Afghanistan, puis lorsque le contexte a changé, qu’ils ont « coopéré » avec les Américains dans le transfert illégal et secret de djihadistes, dans leur « exploitation », c’est à dire leur torture, dans des prisons secrètes au sud algérien, mais aussi dans le retournement de militants islamistes, pour infiltrer des mouvements djihadistes internationaux, et leur faire commettre les attentats terroristes que nécessitaient les stratégies américaines. En peu de mots, la majorité des algériens ne sait rien de la concussion du régime algérien avec les services secrets américains, et même israéliens, et avec d’autres forces souterraines qui minent le monde entier.
Les Algériens n’en savent rien, parce qu’il ne viendrait à l’idée d’aucun média, en Algérie, d’envisager de telles enquêtes. Totalement exclu!
La presse algérienne a d’autres missions. Bien plus sages.
Les dirigeants algériens craignent-ils pour l’investissement étranger ?
Mais pourquoi donc le régime algérien rue-il donc autant dans les brancards depuis qu’il a été black-listé ?
Est-ce un sursaut de dignité ? Allons donc…
Est-ce, comme il le claironne sans discontinuer, que c’est parce qu’il refuse que ses ressortissants subissent un traitement indigne, dans les aéroports américains et français ? Comme si les Algériens lambda, qui se débattent dans des conditions pitoyables pour subvenir à leurs besoins les plus élémentaires, étaient des voyageurs assidus des lignes Alger New-York. Depuis quand ce régime est-il aussi soucieux de la dignité de ses « citoyens », qu’il méprise, et qu’il manipule et qu’il broie, sans même s’en cacher.
Est-ce parce que l’Algérie craint, comme cela est affirmé avec le plus grand sérieux, que ces mesures de black-list ne découragent l’investissement international dans le pays ? Pourquoi ? Parce qu’il y a des investisseurs sérieux qui s’intéressent à l’Algérie ? Les seuls que nous connaissions pourtant, qui se sont rués dans le marché algérien, surtout depuis que ce pays a engrangé des recettes miraculeuses après la flambée des prix du baril, et qui sont généralement les associés des barons du régime, sont ceux qui viendront dans n’importe quelle circonstance, de toute façon, parce que le profit est immense, et le risque quasi nul.
A notre connaissance, même durant la décennie rouge, lorsque le terrorisme régnait en maître dans tout le pays, hormis le Sahara utile, et que les Algériens étaient assassinés par dizaines de milliers, les sociétés américaines d’exploration, d’exploitation, de transport des hydrocarbures, et d’autres qui évoluent dans les mêmes sphères, n’ont jamais été découragées de s’y installer. Bien au contraire! Puisque le Sahara était une zone d’exclusion où même les Algériens ne pouvaient accéder qu’avec un laissez-passer.
L’affaire BRC, que le Chef de l’Etat lui même a mis en liquidation, de façon précipitée, en violation de toutes les règles juridiques, juste pour étouffer un scandale où étaient impliqués des barons du régime et de grosses pointures américaines, et qui reste malgré cela une petite affaire, par rapport aux gigantesques autres dont on ne sait rien, en est l’illustration criante.
Quoi d’autres comme investissements ? La téléphonie, l’importation de véhicules, l’importation de bien d’équipements et de consommation, les grands chantiers du bâtiment et des travaux publics surévalués et réalisés à la hâte, les bureaux d’études de toute sorte, la pêche sans régulation d’aucune sorte, et toutes ces arnaques de grand rapport, dans lesquelles les clans sont systématiquement partie prenante? Non! Pour ces juteux créneaux, qui génèrent des bénéfices mirifiques, sans aucun risque, et qui finiront tous par se révéler sous leur véritable nature lorsque les jeux seront finis, resteront toujours attractifs pour tous les grands prédateurs, quel que soit la black-list. Que les barons du régime trouvent autre chose pour justifier leur indignation feinte. Cet investissement là n’est pas menacé. Peut être même va-t-il être stimulé. Parce que les situations troubles sont le meilleur garant de son implantation, et de ses pratiques.
Par contre, l’investissement réellement productif, et qui est indispensable à ce pays, pour le sortir de l’ornière où il végète depuis des décennies, celui qui crée des richesses, qui contribue à l’autosuffisance relative des populations, qui se déploie dans la recherche, l’agriculture, dans l’agroalimentaire, dans l’hydraulique, dans la production de biens de consommation, dans le tourisme, et d’une manière générale, dans tous les services, celui-là n’aura pas lieu en Algérie, black-list ou pas! Parce que ce genre d’investissement a besoin de garanties objectives, de stabilité politique, de climat social apaisé, de gestion rigoureuse des affaires, d’une administration efficace, d’une justice indépendante. Il a besoin, en somme, d’évoluer dans la normalité, dans une société où les règles sont pérennes, mêmes si elles ne sont pas foncièrement démocratiques. Et c’est là tout le contraire de l’Algérie, où une association de malfaiteurs a pris possession de tout le pays, qu’elle gère comme on rackette, où les différentes bandes se livrent à des guerres incessantes par civils et complots interposés, où l’on n’hésite pas, du jour au lendemain, à changer une disposition fondamentale de la Constitution du pays, juste pour faire rempiler le président de la « république » à un troisième mandat, où des chefs de clans disposent de la principale Société du pays, la Sonatrach, comme d’une cassette personnelle, où des partenaires, ou plutôt des associés, sont redressés fiscalement juste parce que le partage du butin n’a pas agrée la famiglia, et où rien n’est prévisible. Rien ! Pas même la météo!
Tiens, tiens….
En fait, cette black-list a choqué le régime pour une seule et bonne raison!
La black-list, dans un pays comme les USA, qui reste quoiqu’on en dise un État soumis à des règles juridiques, contient des dispositions collatérales tout à fait inopportunes pour des régimes comme celui de l’Algérie.
La black-list n’est pas seulement un arsenal de fouille au corps, de mesures de sécurité diverses, de fichage et autres contraintes. Ces mesures là ne dérangent en rien les dirigeants algériens, même s’il leur faut sacrifier, comme le MAE, à des fouilles au corps. Ce qui les inquiète est autrement plus sérieux. Ce sont les procédures et les précautions qui sont prises, en matière de transfert de capitaux en provenance des pays black-listés, et de détention, aux USA, de capitaux en provenance de ces pays.
Les procédures, et les contrôles, sont très pointilleux en la matière, et doivent être, impérativement consignés dans des rapports qui seront, tôt ou tard, déclassifiés, c’est à dire accessibles à n’importe qui. Voilà ce qui fait courir nos lièvres! Voilà où le bât blesse ! A fortiori qu’avec l’équipe Obama, les barons du régime algériens, y compris ceux qui ont croqué au râtelier des Néocons, sont totalement désorientés. Ils ne sont plus à l’abri de mauvaises surprises. Et l’épisode du contrôle physique de leur ministre des affaires étrangères n’est pas pour les rassurer. Ils craignent que le monde entier découvre un jour l’étendue de leurs fortunes, et les méthodes qu’ils ont utilisé pour se les procurer. Comme de déclencher une guerre civile, de planifier et de mettre en œuvre des carnages de populations civiles, entre autres ficelles.
Donc, comme ils savent que cette black-list risque de lever le couvercle sur leurs pratiques, ils décident de tenter le tout pour le tout. Il faut absolument qu’ils soient sortis de ce guêpier. Ils viennent d’annoncer une curieuse mesure. Ils avertissent les USA et la France que s’ils ne sont pas rayés de la black-list, ils vont recourir à leur arme fatale: La réciprocité! En clair, les Français et les Américains qui se rendent en Algérie subiront les mêmes fouilles au corps que le Ministre algérien des Affaires étrangères. Sans plus! Puisqu’ils n’ont pas la possibilité d’autres initiatives.
Cette annonce pourrait prêter à rire. Mais il n’en est rien. En fait, elle procède d’un appel d’air à un lobbying en leur faveur. Parce que toutes les grosses boîtes américaines et autres multinationales qui sont confortablement installées au Sahara algérien vont pouvoir jouer sur du velours, pour tenter de convaincre leurs gouvernements que cela serait contre productif pour leurs intérêts. CQFD !
D.Benchenouf
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? (1ère partie)
Quelle que soit l’opinion que l’on se fait sur les attentats du 11 septembre 2001 (version officielle ou attentat organisé par la CIA ou le Mossad israélien), des faits incontestables découlent de ce fameux 11 septembre.
La seule grande puissance dominante après la désintégration de l’Union Soviétique (USA) s’est donnée à elle-même un chèque en blanc, un quitus moral et politique lui permettant d’intervenir partout, quand elle le souhaite et par tous les moyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.
Ce concept « le terrorisme » dit international est assez flou pour pouvoir être appliqué à n’importe qui.
Il a été défini au départ par l’axe américano-sioniste pour désigner à l’époque « l’islamisme » par opposition à l’Islam « modéré », c’est-à-dire, l’Islam des pays déjà sous la coupe américano-sioniste (pays du Golf, Égypte, Maghreb, Pakistan, etc..). Ces pays ont eu pour fonction de servir de bases et d’alliés aux États-Unis et de jouer également le rôle des «bons musulmans de service ».
Cet appel à la croisade contre le terrorisme a été adressé également aux anciens ennemis des USA (Russie et Chine) afin de les embrigader sous la bannière américano-sioniste.
Le premier objectif nommément désigné a été l’Afghanistan, refuge des Talibans et de l’insaisissable Ben Laden. L’invasion et l’occupation de ce pays ont donc été décidées et menées à terme avec la complicité du gouvernement pakistanais, entraînant ce pays à son tour dans une guerre tantôt ouverte tantôt larvée.
A cet ennemi fantomatique et insaisissable qu’est Al Qaida, les États-Unis et Israël en ont ajouté un autre l’Irak, un État souverain, un État sous embargo, totalement affaibli depuis la guerre du Golf. L’agression contre l’Irak a voulu être présentée comme une croisade du bien contre le mal afin d’obtenir la caution des Nations Unies (cette « respectabilité » que les puissants appellent le « droit international »). Cette fois-ci le montage mis en place par tout l’appareil propagandiste américano-sioniste s’est heurté à l’incrédulité d’une partie importante de l’opinion (les fameuses armes de destructions massives de Saddam Hussein n’arrivaient pas à convaincre) et surtout au refus de la Russie, de la Chine et de la France : membres du Conseil de Sécurité avec droit de veto.
La Russie et la Chine ne pouvant pas ou ne souhaitant pas apparaître au premier plan, ce fut à la France de Jacques Chirac et de De Villepin, dans la meilleure tradition gaulliste, que revint la mission d’« accrocher » le veto. Les États-Unis et leurs alliés ont été ainsi obligés d’agresser l’Irak sans la caution de l’ONU (ce « machin » comme disait le Général De Gaulle).
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ?
On peut considérer que depuis ce jour, les Nations Unies sont mortes même si leur siège à New-York continue à faire la fortune des grands restaurateurs locaux et autres lieux de divertissement destinés aux diplomates.
Cette agression/occupation de l’Irak a répondu à plusieurs objectifs dont le premier et sans doute le plus important est d’avoir donné satisfaction à Israël et à son lobby nord-américain. Il s’agissait de briser un État arabo-musulman disposant à la fois d’eau (agriculture) et de pétrole, et de le morceler en trois entités ethniques et religieuses (Kurdes, sunnites et chiites). On a également liquidé ses élites soit par la corruption soit par l’assassinat (plus de 70 physiciens, chimistes et techniciens de haut rang dans le domaine nucléaire disparus ou assassinés).
Enfin et surtout cette occupation renforce l’encerclement de la République Islamique d’Iran, principale ennemie d’Israël et de son lobby.
A Gaza en décembre 2008, il s’est agi pour l’entité sioniste de mettre à l’épreuve M. Obama, élu en novembre avec en grande partie, les fonds du lobby sioniste mais également de vérifier par la pratique le nouvel axe régional Israël - pays arabes dits modérés, c’est-à-dire complices : Égypte, Jordanie et certains pays du Golfe. Le silence d’Obama, de Moubarak, sans parler de celui de Mahmoud Abbas, Président de l’autorité palestinienne ont bien montré la complicité unissant les USA, Israël et les gouvernements arabes assujettis au sionisme. Le silence tout aussi complice de l’Union Européenne a confirmé, si besoin en était, son alignement total sur la politique israélienne, alignement renforcé par le retour de la France dans l’OTAN, décidé par M. Sarkozy.
L’échec relatif de l’armée israélienne sur le terrain et l’indignation croissante d’une partie de l’opinion n’ont fait que suspendre provisoirement la question de Gaza. Depuis, le territoire de Gaza est soumis à un total embargo avec la complicité de l’Égypte, des États-Unis, de M. Obama et de l’Union Européenne. Pendant ce temps, la colonisation sioniste de la Cisjordanie et de Jérusalem Est se poursuit, quoi que puisse dire M. Obama pour tenter de tromper l’opinion publique, notamment arabe. La Palestine demeure le pivot de ce conflit opposant la volonté de domination sioniste au reste du monde.
Pour que tombent les dernières illusions sur la politique de « paix » de M. Obama, ce dernier a décidé l’envoi de 30 000 hommes supplémentaires en Afghanistan alors que toute solution militaire du problème est exclue et que la guerre contre les USA et ses alliés s’étend au Pakistan. Pendant que l’empire USraël s’enlise en s’élargissant (suite notamment au mystérieux attentat manqué du « terroriste aux sous-vêtements » et à une possible intervention américaine au Yémen), la situation économique globale ne s’améliore pas pendant que la Chine, la Russie et surtout le front de la résistance (Iran, Hezbollah, Hamas) continuent de se renforcer...
Nous reviendrons prochainement dévoiler ce qui n’a encore jamais été dit sur le 11 septembre...
Le Président,
Yahia Gouasmi
Communiqué du Parti Antisioniste