A peine un demi-siècle après la seconde guerre mondiale, une grande puissance mondiale, désormais la première, arpente toute honte bue le même processus entrepris jadis par le régime nazi envers une frange minoritaire de sa population, et toujours cependant pour ce qu’elle est : à savoir de confession musulmane.
Ce processus n’est rien d’autre que l’enterrement par millions des citoyens innocents dans de grands camps de concentration à ciel ouvert.
Ce, après avoir été pris pour cible depuis à cause de leur ethnie, leur langue, leur territoire et surtout leur religion.
Devant un tel crime aux ampleurs sans précédent en période de paix, le monde entier reste silencieux, approuvant ainsi par ce silence consentant, voire complice, l’abominable politique génocidaire du parti communiste de façade, libéral de facto, de la très corrompue dictature chinoise.
Le monde occidental, pompeusement libre, dont les hérauts des mauvais augures n’annoncent pas moins de nos jours que les croisades et les guerres religieuses ou ethniques, ne cache plus son plaisir de voir, une fois encore, les musulmans martyrisés de par le monde.
Tandis que le monde musulman, qui devrait-être pourtant le premier soutien et protecteur de ses minorités partout dans le monde, croule lui sous des dictatures aussi criminelles et assassines que celle de l’empire du milieu.
Voilant misérablement son incapacité de peser sur la marche du monde par une franche collaboration à peine cachée avec Pékin, à l’instar de l’Égypte de Sisi qui, sans scrupules aucuns, n’hésita pas à renvoyer ligotés les étudiants au sein de ses universités pour venir s’entasser avec un million d’autres Ouigours dans les camps d’épuration raciale tenus par les Hun, l’ethnie majoritaire en Chine.
Face à ce génocide culturel, politique, religieux et, maintenant, racial à la fameuse stratégie du voleur chinois les Musulmans de par le monde ont aujourd’hui l’obligation morale et religieuse d’agir en conséquence.
Autrement dit de manifester leur réprobation en assiégeant partout pacifiquement les représentations diplomatiques chinoises afin de passer un message simple, clair et ferme.
Ce message est que derrière le vieillard ouïghour humilié à cause de sa barbe par les nervis de la police chinoise dans les rues de Xinjiang ou la femme voilée que l’on intimide à cause de son voile, se dressent deux milliards de musulmans à travers le monde. Ces deux milliards n’hésiteront pas un instant à transformer la route de la soie en géhenne infernale face à laquelle les flammes de tous les dragons chinois ne feront pas long feu.
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