Encore une affaire bizarre, mais qui s’en soucie ? On est dans cette nouvelle tuerie outre-Atlantique, avec le même spécimen d’islamiste terroriste, nouvelle formule : le djihadiste alcoolique, cocaïnomane et shiteux ! Oui oui, c’est le progrès, l’évolution des choses, c’est ainsi. Sans oublier la demande de divorce de sa femme pour violences… Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le Monde ainsi que d’autres journaux très sérieux, US et autres.
 « La police ne le connaissait que depuis le 20 avril, lorsqu’il avait été contrôlé au volant de sa voiture, puis arrêté pour conduite en état d’ivresse et sous l’emprise de stupéfiants. « L’odeur d’alcool et de cannabis » et « la poudre blanche autour de son nez »avaient alerté l’officier de service, raconte le Times Free Press. Il avait été libéré contre 2 000 dollars de caution. » Le Monde du 17 juillet 2015.
Donc, si on comprend bien, il n’y a pas d’islamiste radical qui ne se drogue pas, ne boit pas d’alcool et ne fréquente pas les casinos et autres bars à prostituées (souvenez-vous de M. Atta) ! 2 mois avant de mourir, le gars s’adonne aux péchés majeurs en islam, tout en administrant un blog religieux sur internet !
Franchement, le peuple est devenu tellement stupide et décérébré (élites incluses), qu’absolument toutes les foutaises médiatiques passent comme un lettre à la poste…

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Les enquêteurs cherchent à comprendre ce qui a poussé Mohammad Youssef Abdulazeez, un jeune homme apparemment bien sous tous rapports, à ouvrir le feu sur des Marines jeudi dans le Tenessee. Ils analysent ses déplacements à l’étranger, et essayent de savoir s’il s’est inspiré de groupes extrémistes islamistes, notamment de Daech.
Un séjour qui intrigue. Alors que les enquêteurs cherchent à comprendre les motivations de Mohammad Youssef Abdulazeez, qui a tué quatre Marines et en a blessé trois autres jeudi près de Chattanooga dans le Tennessee (sud des Etats-Unis), ils ont découvert que le jeune homme de 24 ans avait passé sept mois en Jordanie, rapporte le «New York Times». Seulement, ce natif du Koweït, qui était arrivé aux Etats-Unis en 1996 avec sa famille, et avait acquis la citoyenneté américaine, avait aussi la citoyenneté jordanienne ; ses parents sont des Palestiniens de Jordanie, et plusieurs membres de leur famille habitent là-bas. Mais aussi au Koweit, où Abdulazeez s’est aussi rendu. Mais à ce stade, la police estime qu’il «serait prématuré de spéculer» ce voyage suspect.
Tous ses autres déplacements sont scrutés à la loupe. Les enquêteurs cherchent notamment à savoir s’il aurait pu se rendre dans des pays voisins à partir de ces points de chute, précise le «Wall Street Journal», citant une source anonyme. D’après une source gouvernementale qui s’est confiée à Reuters, le jeune homme se serait également rendu au Yémen. Rappelons que le père du meurtrier, un employé municipal, avait fait l’objet d’une surveillance il y a quelques années, pour avoir envoyé de l’argent à une organisation qui pourrait être liée au terrorisme, révélait vendredi le «New York Times». Il aurait été interrogé lors d’un voyage à l’étranger, mais aurait été retiré de la liste depuis. Sur un plan plus privé, sa femme avait déposé une demande de divorce en février 2009, disant être agressée physiquement et verbalement, tout comme ses cinq enfants, par son époux, selon le «WSJ». Mais elle avait retiré son action peu de temps après.
Inspiré par l’EI ?
Alors qu’un élu républicain spécialiste en sécurité intérieure, Michael McCaul, a affirmé vendredi que l’attaque avait été «inspirée par l’Etat islamique (EI)», le représentant du FBI, Ed Reinhold a assuré qu’il n’y avait pas de preuve sur d’éventuels complices jihadistes. Si plusieurs sympathisants du groupe terroriste ont félicité sur Twitter ce «soldat de Daech», les médias américains semblent pour l’heure tabler sur l’hypothèse du «loup solitaire» ayant potentiellement été influencé par des messages en ligne. Les agents fédéraux ont saisi son ordinateur, son téléphone, et d’autres appareils électroniques pour analyse médico-légale…
Dernier éléments suspect : Abdulazeez a travaillé pendant dix jours dans une centrale nucléaire de l’Ohio (Nord) en 2013, avant d’être renvoyé car il ne remplissait pas les conditions requises pour occuper un emploi permanent, a indiqué vendredi le groupe énergétique américain FirstEnergy dans un email à l’AFP. Durant son bref passage à la centrale Perry, l’accès de M. Abdulazeez a été «limité à un bâtiment administratif pendant qu’il était formé aux procédures de l’entreprise. Il n’avait pas accès aux informations sensibles de la centrale», a-t-il souligné. La centrale Perry, située sur les bords du lac Erié près de la ville de Cleveland et de la frontière canadienne, emploie 720 personnes et produit de l’électricité pour environ un million de foyers.
http://www.lelibrepenseur.org/usa-encore-un-djihadiste-alcoolique/