La Dictature Des Usuriers Goldman Sachs Deutsche Bank - La Grèce Ruinée Israël Veut La Piller
Actuellement ce sont les usuriers qui font la pluie et le beau
temps sur la scène politico économique internationale avec en ligne de
front une « sainte alliance » Goldman Sachs* Deutsches Bank * qui se
permettent de spéculer sur les emprunts des états nations pour les
ruiner comme c’est le cas avec la Grèce que le régime sioniste se
propose de piller.
La dérèglementation de la finance a permis le renouveau d’une
époque hautement spéculative de l’usurier roi époque qu’on croyait
révolue grâce à une moralisation du monde des affaires.
Lors de la crise de 2008 une commission d’enquête bipartite du
Sénat américain a rendu un verdict sans appel pointant du doigt les
coupables de cette crise et tout particulièrement la banque d’affaires
Goldman Sachs* et sa consœur allemande Deutsche Bank*.
Cette commission a notamment souligné l’échec des régulateurs et
des agences de notation restés silencieux face aux activités
mondialement nocives du système de l’économie spéculative des usuriers.
Elle a rappelé que
« la crise
n’était pas une catastrophe naturelle, mais le résultat de produits
financiers complexes et à haut risque », « de conflits d’intérêts tenus
secrets et de l’échec des régulateurs, des agences de notation et du
marché lui-même à brider les excès de Wall Street ».
La commission d’enquête a tout particulièrement pris pour cible
Goldman Sachs lui reprochant d’avoir sciemment choisi de spéculer au
détriment de ses propres clients. En 2007 Goldman Sachs avait vendu des
produits financiers complexes, des CDO, tout en dissimulant les
positions qu’elle prenait en pariant sur la chute de ces produits
qu’elle avait pourtant elle-même confectionnés. Des paris qui ont
rapporté à la banque plus de 3,7 milliards de dollars de profits.
La commission a fait les mêmes reproches à Deutsche Bank qui
s’apprête en pleine élection présidentielle française à lancer des
produits spéculatifs sur la dette de la France avec probablement en
arrière pensée de faire ce que Goldman Sachs avait fait en 2008.
Si la zone euro s’écroule la Deutsche Bank et par conséquent
l’économie allemande seront les deux grands perdants la Deutsche Bank
parce qu’elle détient une grande partie des dettes des états européens
et l’Allemagne dont le commerce extérieur dépend à plus de 60% des
échanges avec les pays de l’UE.
C’est ce même usurier Goldman Sachs « conseiller« financier du
gouvernement grec lorsque la Grèce a décidé de rejoindre la zone euro
qui est à l’origine de l’effondrement de l’économie de ce pays
également à cause des méthodes dissimulatrices et spéculatives
employées.
*Goldman Sachs : Fondée par un homme d’affaires juif allemand
Marcus Goldman ayant émigré aux Etats Unis en 1848. Usurier inventif, il
a été le pionnier des émissions de bons d’emprunt plus faciles et plus
rapides à utiliser que l’argent. Il s’est associé à son gendre, Samuel
Sachs né dans le Maryland dans une famille juive ayant émigré aux US
venant de Bavière. Sous l’impulsion de Sachs la banque d’usure a
développé l’émission d’actions permettant aux jeunes entreprises de
lever des fonds d’investissement. Jouant sur les deux tableaux, emprunts
et investissements, Goldman Sachs s’est aussi lancé sur les marchés
spéculatifs et les marchés de taux changes et actions pour venir l’une
des plus grosses banques d’affaires de Wall Street avec les
responsabilités que l’on connaît dans les dernières crises financières
au même titre que sa consoeur allemande la Deutsche Bank.
*Deutsches Bank :
Créée en 1870 à Berlin pour assister les entreprises allemandes,
notamment Siemens, dans leur expansion internationale par Ludwig
Bamberger né dans une famille de banquiers juifs. Lui-même banquier et
politicien allemand de renom il est considéré comme un des plus
importants représentants de l'Allemagne libérale de son époque. Il a
participé à la fondation de la Reichsbank et s’est largement impliqué
dans la Münzreform et le Deutsche Mark.
La Deutsche Bank est aujourd'hui présente dans plus de 75 pays
dont les Etats Unis. Elle est la banque étrangère N°1 en Italie et N°2
en Espagne. Un bureau de représentation à Paris a été ouvert en 1970,
transformé en succursale de Deutsche Bank AG en 1977. Elle est
considérée comme l’un des acteurs majeurs de la place de Paris sur les
marchés de taux changes et actions.
L’actuel pdg de Deutsche Bank depuis 2006 Joseph Ackermann est un
homme d´affaire juif suisse. Il est aussi membre du comité de direction
du groupe Bilderberg et vice-président de la Foundation Board du World
Economic Forum. Il fréquente certaines soirées de Gala où on retrouve
Nicolas Sarkozy dont celle de la
Fondation Appel de la Conscience du rabbin Arthur Schneier US et un article du Monde intitulé « Josef Ackermann, le pompier pyromane » fait de lui un portrait de «banquier avide» peu flatteur.
En décembre 2010, la Deutsche Bank a été condamnée à verser une
amende de 553,6 millions de dollars (423 millions d'euros) pour avoir
aidé des clients à frauder le fisc américain. Les montages incriminés
ont été mis en place entre 1996 et 2002. Selon les autorités
américaines, ils ont permis à de riches contribuables de ne pas payer
5,9 milliards de dollars d'impôts sur le revenu
Première banque européenne par la taille du bilan devançant BNP
Paribas Avec 2 164 milliards d'euros d'actifs sur son bilan - c'est plus
que le PIB de la France -, en hausse de 13 %, Deutsche Bank a supplanté
BNP Paribas, et ses 1965 milliards (en recul de 2 %).
Deutsche Bank a surfé sur l'excellente perception dont bénéficie
l'Allemagne, le «Bund» étant considéré comme la valeur refuge avec les
bons du Trésor américain. Cela coûte plus cher de s'assurer contre un
risque de défaut de la France que contre un risque de défaut de Deutsche
Bank…
La Grèce Ruinée Israël Veut La Piller
La responsabilité de Goldman Sachs dans la faillite de l’état grec
n’est plus à démontrer ni sa propension à spéculer sur les résultats de
cette faillite.
Israël profitant de l’état de faiblesse de la Grèce s’est empressé
de conclure un accord de coopération militaire permettant à son
aviation de s’entrainer à une attaque contre l’Iran (Israël doit
utiliser l’espace aérien d’un pays « ami » car le sien manque de
profondeur). Mais ce n’est pas tout.
Dans le cadre des mesures d’austérité décidée par le gouvernement
grec on compte plusieurs projets de privatisation. Ainsi 35% des parts
du géant pétrolier Hellenic Petroleum seraient à vendre de même que 29%
d’OPAP , 4ème et 3ème plus importantes compagnies cotées en bourse.
Le responsable du l’agence pour la privatisation, Costas
Mitropoulos, s’est rendu récemment en Israël pour faire la promotion
des biens publics grecs à vendre. Il a confié aux journalistes
israéliens que le gouvernement grec offrait aux investisseurs de prendre
des parts dans :
12 ports, 34 aéroports, plusieurs projets de développement dont
une autoroute de 650Km reliant un port de l’Ouest de la Grèce à la
Turquie.
Costas Mitropoulos qui espère lever 20 milliards d’euros d’ici
2015 et 50 milliards pour 2020 - pour l’instant la Grèce a empoché 1.6
million d’euros en vendant des franchises de jeux et de tel portable -
en cédant des parts de ces biens publics a dit que des investisseurs
israéliens ont déjà manifesté de l’intérêt pour ces privatisations.
Un groupe israélien serait prêt à investir dans la compagnie
gazière, DEPA, et deux autres sociétés israéliennes sont également
intéressées dans l’énorme projet de développement de l’ancien aéroport
international d’Athènes. Ce projet est estimé à 5.5 milliards de
dollars.
Autres projets de privatisation qui intéresse les investisseurs
israéliens, les sociétés de fourniture d’eau et d'assainissement des
villes d’Athènes et Thessalonique de même que la privatisation des
systèmes de défense grecs. Le lancement des opérations de privatisation
devrait se faire durant de premier quart de l’année.
On peut quand même s’interroger sur le fait qu’Israël qui n’a rien
déboursé pour venir en aide au gouvernement grec - l’aide au
gouvernement grec a accru l’endettement de la France de 15 milliards
d’euros d’ici à 2014 - puisse ainsi bénéficier par l’entremise de ses
entreprises de ces privatisations résultats des malversations de Goldman
Sachs Deutsche Bank et consorts leurs complices au sein du gouvernement
grec
.
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