Tuerie de Montauban et de Toulouse : Les incohérences détaillées de la version
officielle.
Qui
irait remettre en cause une version officielle totalement cohérente et
des apparences
évidentes ? Personne bien évidemment. Mais, quand de très nombreuses
incohérences viennent fissurer celle-ci, comment peut-on l’accréditer
sans se poser de
nombreuses questions pour tenter d'y répondre ? Et quand une grave
crise inhérente à l'insécurité et au terrorisme survient en pleine
période électorale, cette
situation ouvre à la reflexion. Mais ces questions sont totalement
légitimes devant les enjeux et surtout les conséquences graves et
mortifères qui peuvent découler de ces
tueries.
J’ai
relevé toutes les aberrations et les informations qui me semblaient
être totalement contradictoires et qui n'ont rien à
voir avec celles de la presse tarditionnelle. Mais je vous laisse
juges. Prenez le temps de lire la totalité de l’article pour vous faire
une opinion.
Si
la théorie officielle de ces tueries monstrueuses est déjà considérée
comme inviolable et ceux qui osent la
remettre en cause seront évidemment d’atroces négationnistes ou
révisionnistes, comme pour celle du 11/9, le devoir de chacun est d'y
voir plus clair dans cette affaire et ces nombreuses
zones d'ombre.
La
première question fondamentale est celle-ci : Voilà un gamin de 23 ans
qui vivait depuis ses premiers crimes, le 11 mars (
11) 2012, sans se cacher et en continuant à vivre totalement
normalement, comme si de rien n‘était, et en allant même en boîte de
nuit et en circulant partout dans la ville. Ce que les
services secrets et groupes d’élite, admettons, n’étaient pas censés
officiellement savoir à ce moment. (Les attentats de Paris entre Juillet et Octobre
1995, revendiqués par le GIA ont commencé le 11 Juillet)
Mais
pourquoi ne pas avoir planqué en premier devant chez lui tranquillement
de nuit jusqu’au matin pour le cerner à sa sortie
de l’immeuble afin ne pas mettre en péril sa vie, sans casse ni gêne
pour les habitants du quartier, et ainsi obtenir son procès tant
attendu par l’État, l'opinion et surtout les
familles de victimes ? Pourquoi avoir fait un assaut de nuit sans
planquer précédemment puisque lors du lancement de l’opération les
différents services savaient qu‘il n‘appartenait ni à la pègre
ni au grand banditisme ? N’est-ce pas incohérent ? Pourquoi les
médias du monde entier ont-ils eu le droit de filmer l’intégralité du
déroulement, et non celui des opérations, et de se stationner
au bord du périmètre alors que ce genre d’opération nécessite la
plus grande des discrétions ?
Le RAID mettra plus de trente heures à terminer sa mission et 32 minutes pour finir pa,r dit-on, tuer Mohamed le matin. Une
opération pourtant simple, celle de la maîtrise d’un forcené, même armé
Une
opération qui depuis trois jours tient en haleine tous les médias et
leurs téléspectateurs, certes, mais qui nous
montre aussi que l‘insécurité et la chasse aux pires des tueurs
seraient devenues des téléréalités, des feuilletons qui nous
expliqueraient de A à Z ce que nous devons comprendre et accepter
comme la vérité.
Nous revoilà donc de retour à la date du 11/9/2001 « face à une exécution terroriste »,
selon les propos de Nicolas Sarkozy, en rendant hommage aux soldats
tués. Mais c’est aussi un casus belli qui donnera au chef de l’État un
mobile pour aller faire la guerre
partout où se trouve ces soi-disant combattants islamistes. Cette
fois avec l‘aide et le soutien d‘Israël puisque contrairement à ce qu’il
dit, en parlant de la famille de l‘école : « Ils
sont Français », les petites victimes et leur père ne sont pas
du tout des citoyens français mais israéliens. Cela a son importance et
c’est même très important.D'ailleurs comment le tueur
pouvait-il tomber par hasard sur des cibles israéliennes ? Israël a
de ce fait toute la légitimité pour s‘impliquer directement et imposer
sa façon de régler le problème. Si ces victimes
avaient été françaises, même de confession juive, son rôle aurait
été très mineur, voire absent.
Cela permettra aussi d’exercer une censure d’Internet et de créer de nouvelles lois dites sécuritaires mais totalement
liberticides.
La peur irraisonnable, et donc forcément irraisonnée, ou le manque de maîtrise de soi, fait accepter la première
solution venue pour la faire cesser.
Il était évident que Mohammed Merah allait être tué d‘une balle dans la tête. Comment alors interpréter l’assaut
final ? Pourquoi une telle zone d’ombre et de silence de minuit trente à 11h du matin après trois énormes explosions ? Des négociations se
sont-elles déroulées pendant ce laps de temps, pour quel réel motif et avec qui ?
Il aura fallut plusieurs minutes de tirs nourris de Mohamed, totalement à découvert, en sautant par la fenêtre, plus ceux du
RAID pour qu'il finisse avec une balle mortelle tirée dans la tête par un sniper.
Je
viens d'entendre à l'instant de la bouche d'un reponsable du RAID, et
donc, des heures avant la rédaction de cet
article, que Merah était entrain de sauter par la fenêtre quand il a
été abattu. Ce qui pose comme question comment pouvait-il être
dangereux à cet instant ? Un ancien patron du RAID ou de
l'IGN vient de dire également qu'il pouvait être stoppé par un gaz
neutralisant et inoffensif, et que cet exercice est le premier qui est
enseigné.
Selon le procureur de Paris, François Molins, « on peut d'ores et déjà indiquer que l'examen du corps montre qu'il portait
un gilet pare-balles sous lequel il portait une djellaba enfilée un pantalon blue-jeans ».
C’est vrai que pour fuir et se mouvoir la djellaba est idéale. Mais cela accrédite son appartenance à des réseaux
fondamentalistes.
Comment
pouvait-il ne pas être tué face à un tel déploiement et en analysant un
tel scénario aussi acadabrantesque
et allant de contradictions permanentes en aberrations successives
? Une opération qui semble être destiné aussi à la sidération de
l’opinion pour lui faire accepter la
suite.
De
plus, admettons que d’autres crimes soient commis, il serait légitime
pour certains de se dire : « sa mort a empêché la tenue
d’interrogatoires qui auraient permis de savoir s’il y avait
d’autres complices ». La réponse ne serait-elle pas : « Oui le risque
était connu ! Mais nous ne pouvions nous permettre de ne pas
donner l‘assaut après sa fusillade ». Mais serait-ce une réponse
convaincante et satisfaisante si cela se produisait pour la famille des
victimes ? Sachant qu’il n’y avait qu’un seul
jeune-homme, sans otages qui, de surcroît, était encerclé par plus
de 300 membres des différents services et de ceux de la police et de
la gendarmerie, la colère risque de
monter dans cet éventuel cas.
Le
RAID (une unité d’élite exceptionnelle) a-t-elle montré sa grave
incompétence face à une cible identifiée depuis de longues
heures et retranchée dans un appartement de 38² et sachant qu’il n’y
avait pas d’otages ? Où existe-il une autre hypothèse ? La première
n’est pas envisageable. ? La seconde
semblerait-elle plus acceptable quand nous constatons que, plus de
35 heures auront été nécessaires à cette unité d’élite pour tuer un
gamin de 23 ans enfermé dans un petit appartement du
RDC(donc facilement accessible et prenable) qui n’avait plus ni eau,
ni électricité, ni gaz, et qui aurait eu la gentillesse d’échanger un
pistolet chargé contre un talkie-walkie à piles afin de
mieux tenir sa résistance face à ces groupes d‘élite ?
Cet
échange aurait été fait pour passer des aveux qui resteront totalement
privés. Mais qui seront retransmis par tous les
médias sans se poser la mondre question et comme étant ceux de son
testament posthume. Posthume car il sera tué sans procès. Ne peut-on pas
envisager que ceux-ci viennent juste confirmer sa
culpabilité et son incrimination dans ces meurtres odieux pour que
la version officielle soit confortée ?
De plus, comment cette première approche et échange sont-ils possibles ? Mohamed a forcément ouvert une porte ou une fenêtre. Ce
qui aurait permis une intervention rapide.
Il
est quand même question ici de « l’élite » des forces spéciales qui
possèdent des engins, du matériel, des armes et des
techniques High Tech, comme des voitures en matériaux spéciaux et
Bélier, des armes laser, des grenades paralysantes flash-bang, des
appareils de détection thermique qui permettent de
savoir si le forcené bouge et à quel endroit il se trouve, des
micro-caméras qui sont introduites dans le logement, (Si ces caméras
sont introduites, un gaz soporifique peut donc s’en échapper,
l’aide des satellites, le bouclier géant Ramsès sur roulettes qui résiste aux pires tirs divers et aux rafales de kalachnikov, des techniques de combat et de
maîtrise d'un individu les plus sophistiquées et tout le reste que nous ignorons.
Un membre du RAID sur le plateau de canal + dira « qu’ ils ne connaissent pas encore une technique inoffensive de
gaz et que la loi de toutes les façons l’interdit car un gaz pouvait être létal».
Est-ce crédible non. Surtout quand nous savons tous que certains sont
justes paralysants et que
face à de tels tueurs, et lors de guerres et de conflits, des
armes non-conventionnelles, donc interdites par les Conventions de
Genève, sont utilisées ? Par contre,
pourquoi les flash-bang et le Taser sont-ils autorisés sachant
qu‘ils peuvent tuer également ?.
A 24,32h
nous avons vu et entendu en direct, et la même scène en zappant sur
toutes les chaînes
d’info, toutes 100%sionistes, et ce, durant plusieurs heures, trois
énormes explosions successives qui ont été filmées et qui éclairaient le
ciel. Le matin plus une seule chaîne n’en parlait.
Pourquoi ? Les journalistes sur place ont maintenu durant des heures
que des policiers se serraient la main et que de nombreux véhicules
avaient quitté la zone après ces explosions.
Il faut savoir que toutes les chaînes étrangères retransmettaient en direct de CNN à la BBC en passant par Al Jazzera. Pourquoi
? Nos chaînes suivent-elles en direct les pléthores d’assauts et de courses poursuites aux Etats-Unis ou ailleurs ?
Un
ancien membre du RAID expliquait que de telles explosions étaient
destinées à faire sauter les portes, les fenêtres et les
volets fermés pour ensuite balancer des grenades aveuglantes et
assourdissantes qui mettaient systématiquement l’homme à terre,
permettant ainsi d’entrer dans le logement et de le maîtriser. De
telles explosions ont donc obligatoirement fait des ravages tout en
laissant des ouvertures béantes.
Le
matin d’autres explosions ont eu lieu. Que pouvait-on encore détruire
dans un si petit espace ? Pourquoi a-t-on fait exploser
sa voiture alors que des empreintes auraient été sans doute
retrouvées que et d’autres preuves auraient été utiles lors du procès et
surtout pour remonter une piste, si piste il y a ?
Il
a été dit qu’elle avait été détruite avec des armes à l’intérieur.
N’était-ce pas une raison de plus pour rechercher des
empreintes sur celles-ci ? Pourquoi l’ennemi numéro 1, qui est
traqué par toutes les forces d’élite, de police et de gendarmerie,
laisse-t-il un tel armement défensif dans sa voiture et non chez
lui pour se protéger quand il y est ?
Ce matin : "Plus de cloison, plus de porte, plus de fenêtre"
Marie-Jeanne, une habitante, n'a
pas pu passer pour aller récupérer quelques affaires dans son logement,
situé quelques étages au dessus de celui de
Mohamed Merah. Elle a raconté à Europe 1
s'attendre au
pire, après que des hommes de la Croix-Rouge lui ont décrit les
dégâts dans l'immeuble. "Il y a des gros dégâts en façade, les vitres
sont explosées, jusqu'au troisième étage", indique-t-elle,
précisant que "les volets aussi ont été arrachés".
Tout
le quartier, et non la rue, a été coupé en électricité. Pourquoi ?
Puisque son immeuble, donc son appartement, l’avait été
et que ces volets étaient fermés. Certaines opérations et
aller-retour devaient-ils être inconnus ? Encore plus étrange, son
voisinage large et directe a été totalement évacué, mais un témoin
oculaire et voisin témoigne de ce qui se passe aux journalistes et
un autre filme
le dernier assaut où aucune explosion ne semble avoir endommagé
l'immeuble la nuit. Comment
est-ce possible ? Il dit se situer en face de l‘immeuble. Comment
est-ce possible ? Il faut avouer que le nombre d’informations
incohérentes, affirmées et infirmées, ou qui disparaissent ne
manquent pas, et qu'elles se sont succédées durant deux jours et
encore maintenant.
Hier
sur LCI un spécialiste en Islam et professeur de faculté en propagande
sioniste, Gilles Kepel, balance une info que même Claude Guéant
et le procureur ignoraient, à savoir : « Nous savons maintenant que Mohammed Merah organisait régulièrement chez lui des réunions entre salafistes
» Même le présentateur du journal s’en
étonnera. N’est-ce pas incroyable, et qui est-il vraiment pour
donner une telle information ? Ce qui sous-entend maintenant que des
complices existeraient. Cet homme incriminera, évidemment, en
arrière plan la Syrie qui est la prochaine cible pour parvenir
à frapper l‘Iran ensuite.
Une journaliste de France 24
nous dira même que Mohamed Merah l’a appelé à sa rédaction depuis son
encerclement pour
lui dire qu’il appartenait à Al Qaïda et lui raconter sa vie.
Comment est-ce possible qu’il choisisse cette chaîne qui est peu
regardée, et peu ou pas du tout des jeunes, et même des moins
jeunes, au lieu d’appeler Al Jazeera ou une chaîne à forte audience ?
Ce qui semblerait logique. Comment également a-t-il eu le numéro de
cette rédaction ? Bon D… mais oui ! par le 118. Mais
comment est-il possible que son téléphone n’ait pas été coupé et
qu’il ait conservé une liaison sachant que n’importe sait qu'en premier
on le coupe pour éviter qu'il ne puisse demander de
l’aide à des complices terroristes où leur demander qu’ils
commettent en simultané des attentats pour générer la panique et, de ce
fait, faire partir plusieurs unités de la zone ? Un
criminologue, Coutanceau, lui nous expliquera, après avoir entendu
deux coups de feu, que "le jeune musulman pouvait s’être suicidé". La présentatrice lui dira quand même : « Se
suicider en se tirant deux coups de feu ! ?…» « Tout est possible s'il veut tromper les policiers » rétorquera-t-il.
D’expert
sioniste en expert et commentateur juif, en passant par un certain
journaliste international, Christian
Makarian, nous entendrons une succession d’incohérences que même un
gosse de sept n‘oserait pas dire : C’est un djihadiste de 3éme
génération. Il pratique le Self-islam ou le Salafisme à la
carte. Les intégristes seraient-ils donc devenus non-intégristes ou
non-fondamentalistes ? C’est énorme.
Il
a été dit qu’il se serait radicalisé seul chez lui en lisant le Coran
mais aussi qu‘il a été initié au djihad.
Faudrait savoir. De quel Coran parle-t-on d’ailleurs ? Il a été dit
aussi par un des experts stipendiés, car tous tiennent exactement le
même discours, même des dits musulmans, qu’il s’est
échappé d’une prison afghane aidé par les talibans, d‘autres
créatures du Pentagone et de la CIA. Mais au départ comment peut-on
errer seul dans un pays inconnu en ignorant totalement sa
langue pour ensuite terminer dans un camp d’entraînement dans lequel
il ne serait pas resté ayant, dit-on, contracté une hépatite ? Depuis
quand ces camps ont-ils des séjours à la carte
? Il ferait partie aussi d’une cellule dormante, un terme qui ne veut strictement rien dire et qui est fait pour propager la peur chez les crédules. Il serait un non
professionnel impulsif mais ayant les connaissances d’un pro pour avoir organisé une telle tuerie et tué de sang-froid.
Un
fait étrange également. Dans la première interview son avocat dira
qu’il ignorait son séjour en Afghanistan. Sachant que
Mareh a fait un long séjour en prison et qu’il le suivait
régulièrement, n’est-ce pas singulier ? Son avocat dira aussi qu’il
était courtois, gentil, doux et qu’il avait même une
tête d’ange. Et où est passée cette femme qui a été
interviewée, mais ne montrant que le bas de son corps dans une voiture,
qui dit avoir vu son visage et une cicatrice sur sa
joue ?
Libération (Rothschild) fera sa Une avec l’homme sur son scooter mais coupera le visage. Des petits malins seraient-ils capables
de percevoir le visage derrière le casque ?
Il
sera dit qu’il ne voulait pas mourir en martyr et par les armes, mais
il choisira de mourir en djihadiste, à l’inverse. Il
est reconnu comme n’ayant aucune idéologie, mais, comme étant
quelqu’un qui à celle des salafistes de 3eme génération ; celle à la
carte où les membres de surcroît ne se connaissent pas, sauf
bien sûr par le biais du Net.
Un
vrai salafiste ne même jamais le genre de vie moderne qu’il menait
entre les courses de voiture, les filles et les
boîtes de nuit. Son but est de combattre la débauche pour revenir
aux fondamentaux du Coran. Il est décrit aussi comme un loser, petit
délinquant qui va d’échec en échec et qui échoue même à son
entrée dans les rangs d’Al Qaïda. Mais il sera précédemment décrit
comme le contraire, comme étant froid, minutieux et organisé,
donc susceptible de recevoir un super entraînement ; un
profil qui est aux antipodes de l’autre, pour un tueur qui abat de
sang froid et à bout touchant de jeunes enfants.
Il
est dit qu’il voulait venger les enfants palestiniens. Mais pourquoi
étrangement seulement eux, et pas les petits afghans,
iraquiens, libyens, somaliens et tous les autres petits musulmans ?
Il est dit qu’il a des tatouages maoris. Ce qui ne correspond pas DU
TOUT aux salafistes ni aux musulmans et qui en
plus sont TOUS barbus.
Alors,
après autant de contradictions, la seule solution restait de dire qu’il
est schizophrène, impulsif et désorganisé. Mais
n’y a-t-il pas dans ce type de pathologie une structure mentale
incohérente et incapable de planifier de tels crimes et de sélectionner
minutieusement pendant des jours ses victimes ? Les affects
de ce genre de personnes sont de plus très handicapants, ce qui les
empêchent d‘être justement cohérents et organisés puisque leur réalité
est différente de la nôtre, dans un monde parallèle.
Cela ne va-t-il pas à l’encontre d’un tueur organisé et froid comme
cette machine ?
Ne doit-on pas s’interroger ?
Il est vrai que je me suis abstenue de dire trois choses dans mon article, et ce, malgré qu’elles furent mes premières
intuitions « » et qui se sont avérées être justes : Il sera tué d‘une
balle dans la tête. Nous avons évité qu’ils ne nous sortent le nom de la créature de la CIA, Al Qaïda, comme éventuel coupable idéal et celui de la Syrie en filigrane.
Et bien c’est fait.
Depuis
ce drame des experts stipendiés, et en conflits d’intérêts permanents,
mais surmédiatisés envahissent littéralement
24/24h tous les médias pour nous abreuver de leurs analyses
propagandistes et ainsi orienter et abuser l’opinion en désignant
l’Islam et les islamistes comme étant les seuls et
uniques responsables de tous les maux et de toutes les abominations
du monde.
Pourquoi le bouffon Gilles Goldnadel, juif-sioniste déclaré publiquement, dès le premier jour du massacre, affirme-t-il que
les islamistes sont responsables sans l’ombre d’un doute
? Est-il devin ou dans
le secret des dieux ? Pourquoi le CRIJF et la communauté
juive-sioniste ( la médiatique et non son ensemble) prennent-ils la
défense de Marine Le Pen ?
Il faut savoir aussi que la détestation (mot de Goldnadel) mondiale de l’Etat juif et d’apartheid pose un réel problème à ses
dirigeants.L’opinion publique internationale condamne fermement la colonisation de la Palestine et les interminables
massacres et exactions envers sa population et appelle partout à boycotter l’Etat juif, même au Japon. Les Indignés et des
rabbins aux USA brûlent des drapeaux israéliens considérant que la finance, qui est dans leurs mains, est responsable de leur malheur.
Il faut savoir que ses dirigeants sont systématiquement hués à l’étranger par des manifestants pro-palestiniens du Japon en
passant par les USA, l’Europe et le reste de la planète ou en Corée
du sud. Le Sionisme avéré de la France est également
un problème pour la population française, gaulliste dans l'âme, qui ne
se retrouve pas dans ces valeurs liées uniquement aux
intérêts israéliens qui pénalisent et en mettent nos propres
intérêts au second plan et en danger.
Ces
victimes de nationalité israélienne vont donc certainement conduire à
interdire tout soutien à la Palestine pour
éviter, officiellement, qu’un tel drame ne se reproduise et faire en
sorte que le combat, désigné contre les pays-cibles, soit accepté par
une majorité de l‘opinion interrogée, soit un petit
panel entre 700 à 1200 personnes, si les sondages ne sont pas
truqués.
Il semble évident que le plan « Alerte écarlate
» sera également maintenu puisque officiellement des
complices peuvent encore agir, privant ainsi les candidats et les
autres mécontents de faire un rassemblement comme dimanche dernier de
120 000 personnes à Paris, venues pour soutenir
Mélenchon le franc-maçon.
Mais où chacun peut et doit se poser des questions se trouve être dans cet incroyable mise scène diffusée en boucle par toutes
les chaînes et sur la suppression de certaines informations ou arrangement de certaines autres.
D’autres
nombreuses questions se posent de toutes évidences : Pourquoi la DCRI a
fait montre d’autant d’incurie et d’impéritie
alors qu’elle connaissait dit-on le dit séjour de M. Merah en
Afghanistan, au Pakistan et dans un camp d’entraînement ? Est-ce
crédible ? Non. Et surtout qu’il n’ait pas fait l’objet de
perquisitions et de filatures régulières ?
Comment
après être passé entre les mailles de toutes les polices de France, les
forces spéciales, d’élite, et celles de
gendarmerie, qui avaient été déployées depuis ses premiers crimes,
peut-il être aussi stupide pour aller vivre chez lui à deux pas de
l‘école juive, et ce, sans se cacher nullement et de personne
? Même un psychopathe fait attention.
Les
antagonismes de comportement sont flagrants pour un tel tueur, sans âme
ni conscience, qui tue à bout-touchant de jeunes
enfants en les regardant dans les yeux. Lui qui était, placide et
sans affects, a montré le contraire en se rependant et en s’épandant
comme chez un psy, mais ici caché dans le noir et derrière
des volets clos. Comment une telle différence de comportement
est-elle possible et explicable ?
Alors
qu’il ne vivait absolument pas dans la peur d’être arrêté, il aurait
par contre été sur le qui-vive uniquement dans
son appartement la nuit, et mitraillette au poing. Mais ! laissant
une grande partie de son arsenal là où en cas de problème il ne pouvait y
accéder. Est-ce logique pour un tel tueur ? En
s’épanchant il aurait avoué également avoir eu l’intention de tuer
d’autres policiers et soldats. Ouf ! Ce qui va faire se calmer un peu
l’assaut de tous les juifs de France et de Navarre qui
s‘exprime sans interruption et qui ne voyaient qu‘un acte antijuif.
Nous verrons même Alain Juppé en kippa en Israël alors que des juifs
israéliens n'en portaient pas à l'enterrement ni
en portant les cercueils.
Pourquoi également a-t-il filmé ses crimes et eut la bêtise ensuite de remettre la caméra à un proche ? Depuis Saddam
Hussein, Gbagbo, Kadhafi, les scènes de meurtres, de tortures, d’horreur et d’humiliation sont à la mode. Pourquoi ?
Source:www.diatala.org
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